samedi 12 septembre 2009

SUPRIZE !

Teh Mogomaniac iz naow on teh internet, at teh adress http://www.mogomaniac.com, unbelievable ! We are teh kings of teh interwebs !


Image en exclusivité sur le vieux Mogomaniac, vous êtes chanceux bande de larves. En tout cas, l'image vient de Buemba (profil Safebooru).

Bon si vous n'aviez rien compris aux 2 lignes au-dessus, sachez que ce fantastique blog, le Mogomaniac, vient de passer au stade supérieur du blog. On a maintenant un nom de domaine en .com, parfait pour attraper les visiteurs réticents à notre puissance mentale. L'histoire du blog en .blogspot.com s'arrête donc maintenant. On laisse les articles présents, au cas où il y aurait un petit problème, mais il n'y aurait plus les nouveaux articles tous nouveaux tous frais faits pour la nouvelle version, Mogomaniac deux point zéro. (c la résurecsion!!!!!!!!)

On passe donc de Blogger, un peu trop restrictif au niveau des possibilités, à Wordpress, pleinement évolutif et surtout moins restrictif. Le thème actuel n'est pas définitif, il pourrait changer dans les semaines à venir pour un truc trop trop mieux. J'ai pas choisi Dotclear puisque il bugge mon hébergement OVH, dommage, je l'aimais bien !

En attendant, n'hésitez pas à donner vos suggestions pour améliorer encore plus le Mogomaniac. On a besoin de vous, on a rien compris à la vie.

Macross : Ai oboeteimasu ka ?

Macross : Do You Remember Love ? est un film de Tatsunoko Studios sorti en 1984, résumé d’une partie de la série Macross, connue en Occident sous le nom Robotech.



Macross DYRL (que j’abrègerais ainsi) ne commence pas directement au même endroit que la série originale. Alors que Macross commence à l’arrivée du SDF-1 sur Terre, le film commence au milieu d’une bataille spatiale, bien après le début de l’ascension de Linn Minmay (chanteuse célèbre qui deviendra rapidement un personnage principal). Il finit également sans aborder la reconstruction de la Terre. (ne me dites pas que je spoile)
Macross DYRL, pour ceux qui ne connaissent pas, se déroule en 2009. 10 ans auparavant, un gigantesque robot/vaisseau spatial s’écrase sur une île du Pacifique. Les gouvernements du monde entier s’allient pour créer ce qui deviendra le SDF-1, « Super Dimension Fortress » numéro 1. Mais alors que ce « Macross » vient d’être inauguré, des extraterrestres, les Zentradis, anéantissent la Terre. Le Macross, avec 56 000 habitants à bord, téléporté à l’autre bout de la galaxie, se lance à présent dans la quête de regagner la Terre... Hikaru Ichijo, pilote de Valkyrie, un mecha de l’armée, rencontre par accident Linn Minmei (les deux orthographes sont possibles), l’idole dont il est le plus grand fan. A partir de là démarre une intrigue à la fois amoureuse (Le triangle amoureux Hikaru/Linn/Misa), musicale (les chants de Minmei) et spatiale (batailles dans l’espace).


Le film Macross résume l’anime entre la rencontre entre Linn Minmay (c'est pas elle sur le screen hein) et Hikaru Ichijo, et la bataille finale entre Zentradis, Meltrandis et Microns. Elle n’aborde donc ni la reconstruction, ni les débuts de Linn Minmei. De plus, il y a quelques différences par rapport à l’anime (d’après ce que j’ai lu) : Par exemple, Hikaru rencontre ici Linn alors qu’elle est déjà une star, contrairement à l’anime. (je précise au cas où que je n’ai pas vu l’anime Macross/Robotech et que me base sur des trucs vus sur le net hein)
Le scénario s’améliore au fil du temps et, sans être foudroyant, a le mérite d’être plus que divertissant et réserve quelques surprises (la Protoculture, opposition Zentradi/Meltrandis…) Le triangle amoureux est également de qualité, pas tellement de parties gnangnan et le résultat final a le mérite d’être surprenant !
Quand à la bande sonore, elle est excellente à la fois pour les titres instrumentaux (de grande qualité) comme pour les chansons pop interprétées par Linn Minmay/Mari Lijima (sa doubleuse) : On se souviendra notamment de Ai Oboeteimasu ka (qui a connu un excellent fandub), chanson ultime à la qualité indiscutable et à l’effet aussi surpuissant que Seikan Hikou dans l’épisode 14 de Macross Frontier !


La qualité graphique, je dois l’avouer, m’a SURPRIS. Vraiment surpris. Le film date de 1984, et malgré ça on a droit à une qualité de tonnerre (j’ai appris plus tard que le film avait un budget 2 fois supérieur à celui de la superproduction japonaise lambda de l’époque ; pas étonnant). Les dessins sont magnifiques, même pour le character design (même s’il a un peu vieilli depuis l’époque) et les batailles spatiales sont très dynamiques (dommage qu’elles soient si rares, encore une fois).


De gauche à droite : Hikaru Ichijo, le frère de Minmay, Linn Minmay, Roy (un autre pilote) et la supérieure de Hikaru, Misa Hayase.

En clair, j’ai énormément apprécié ce film. Il est totalement visible sans avoir vu un seul Macross, et encore mieux ; il vous motivera pour voir le reste ! Il est représentatif de ce que doit être un Macross : de la bonne musique, un triangle amoureux et des batailes dans l’espace. Il a en plus l’avantage de ne pas être licencié sous la licence maudite Robotech ! Bref aucune raison pour passer à côté. Foncez !


*fier du screenshot*

jeudi 10 septembre 2009

Résultats du Blind Test

En attendant Crash Course, le nouveau de DLC de Left 4 Dead (mais vu le temps que ça prend pour Valve, pas sûr que je vais pouvoir faire la partie que je prévoyais avec mon pote), je me suis souvenu que je n'avais pas donné les résultats du Blind Test. Voilà donc les résultats, avec un jour de retard !


Note : Si vous voulez refaire le BT "tout seul", il est toujours dispo ici.


On commence d'abord par les chansons de ce Blind Test...


1ère : Générique de Umineko no Naku Koro ni, de Akiko Shikata : Katayoku no Tori.

Série inspirée du 3e visual novel When Then Cry; je compte jouer au Visual Novel dans peu de temps, en attendant j'ai gaiement viré Umineko de ma liste d'animes à voir.

2ème : Insert Song de Macross : Do You Remember Love, de Mari Lijima : Ai Oboeteimasu ka

Très bon film que j'ai vu récemment et qui se veut un remake de la première série Macross; et il pose en plus les bases pour les Macross suivants (ceux après 1984). Vous verrez bientôt un article dessus ;D

3ème : Ending de Mass Effect, de Jack Wall et Sam Hulick : M4 Part 2 Faunts

Meilleur ending de JV de tous les temps; il vaut à lui tout seul l'achat du jeu (très bon jeu d'ailleurs).

4ème : Insert music de Persona 4, de Shoji Meguro : A New World Fool

Un des meilleurs titres de l'OST de Persona 4 à mon goût, même si celle-ci à tendance à se ressembler malheureusement un peu trop.

5ème : Ending de Higashi no Eden, de School Food Punishment : Futuristic Imagination

Un ending assez déroutant au début (surtout pour le visuel), mais que j'ai trouvé après plusieurs écoute assez dynamique. Notons que School Food Punishment a aussi interprété le titre lors de la Japan Expo 2009.

6ème : Insert music de Touhou 7, de ZUN : Necrofantasia

Thème de Yukari, master des boundaries. On reconnaît aisément le style dynamique de ZUN ;D

7ème : Insert music de Half Life 2, de Valve : The Innsbruck Experiment

J'avoue que j'ai eu du mal pour retrouver le vrai titre de ce fichier, puisque j'avais pris ce fichier parmi mes fichiers Half Life 2 et nommé "HL2_song3"... En tout cas, pas le plus représentatif de la qualité de l'OST, mais j'avoue que c'était la plus dure. OK.

8ème : Insert music de Time Hollow, de Masanori Akita : Changed the Past 2

Un des morceaux de la très bonne OST de Time Hollow. J'ai voulu prendre l'opening au début, mais je sentais que je devais corser la difficulté ;D (comme si elle était déjà pas assez difficile)

9ème : Opening de Street Fighter IV, de EXILE : The Next Door/Indestructible

OUI OK OK C'ETAIT LE PIRE MORCEAU DU BLIND TEST OK OK OK

10ème : Insert song de Higurashi no Naku Koro ni, de Yuzuki Kaoru : Thoughts/Omoi -You were in the Wind of Summer-

Un des très bons morceaux "Dear You" de Higurashi (même s'il diffère légèrement par son titre). A vrai dire, je n'ai aucune idée de la place qu'il occupe dans le Visual Novel ;(

11ème : Insert music de Final Fantasy IX, de Nobuo Uematsu : Kuja's Theme

Sans doute le titre qui m'a le plus marqué dans l'OST de FFIX. Le titre était excellent, dommage que je me sois arrêté au disque 3 D:

12ème : Insert music de Eureka Seven, de Sata Naoki : type theEnd

Le morceau le plus terrifiant de cette OST, que vous pourrez trouver en action en suivant ce lien ! (spoil quand même)

13ème, fin : Opening de Gundam 00, de l'Arc-en-Ciel : Daybreak's Bell

Déjà le dernier morceau, quelle émotion mes amis ! On finit en beauté avec l'opening de Gundam 00, que j'avais commencé à une époque où je n'avais aucune culture otaque (et oui, ça semble si proche) et que je ne vais pas commencer maintenant qu'il a été licencié ! Bref, avec un petit chouia au début de la version complète.

Bref voilà, nous y sommes, l'heure des résultats a sonné ! Nous voilà donc avec une participation RECORD de 1 participant §§§§§§§§§

Bravo donc à Ike, parfois connu sous le nom de Dango grillé, pour sa victoire avec donc 17 points sur 39. Il gagne rien du tout, ce dont il peut être fier ! Je suis jaloux.

Trêve de plaisanteries, je suis DESU par la participation, j'en organiserais bientôt un dans quelques temps, mais la prochaine fois...

ON COMPTE SUR VOUS (OK OK OK ELLE ETAIT FACILE CELLE LA.)

lundi 7 septembre 2009

Gunslinger Girl

Bonjour, aujourd'hui je vais vous présenter un manga, Gunslinger Girl, écrit et dessiné par Yu Aida.


Le gouvernement Italien a décidé de combattre le mal par le mal. Pour cela il a monté une agence, la Social Welfare Agency, qui s'occupe d'assurer la logistique pour une équipe de professionnels chargés d'éliminer des chefs de clan ou d'assurer la protection de témoins, sous couverture d'une agence sociale. Tout cela est d'autant plus extrême que tous les tueurs de l'agence sont des petites filles d'une douzaine d'années (pour la plus vieille) conditionnées physiquement et psychologiquement après des accident traumatisants. Leur survie repose sur la savoir médical top secret: elles ont un corps artificiel, un nouveau corps qui leur procure la force et la vitesse d'exécution pour pouvoir tuer tous ces criminels. Placées sous la tutelle rapprochée d'un adulte membre de l'agence, chacune de ces enfants est devenue une véritable machine à tuer d'un efficacité redoutable.




On peut voir 5 petites cyborgs différentes au début de l'histoire ==>



Henrietta ==> Son tuteur est Jose Croce, elle est la meilleure tueuse de l'organisation; c'est le personnage principal, elle a été récupérée par l'agence après avoir été violée toute la nuit au milieu des corps sans vie de sa famille. Avant que l'agence ne la récupère, elle n'aspirait plus qu'à se suicider.

Rico ==> Son tuteur est Jean Croce, elle a été sauvée dans un hôpital où elle souffrait d'une paralysie des jambes.

Triela ==> Son tuteur est Victor Hilscher; elle joue un rôle comparable à celui d'une grande sœur. Elle a été sauvée par l'agence alors qu'elle faisait partie d'un groupe d'enfants vendus.

Claes ==> C'est la compagne de chambre de Triela, elle sert pour les expériences depuis la mort de son responsable Labaro.

Angelica ==> Son tuteur est Marco. Elle a été recueillie par l'agence après que ses parents l'aient volontairement renversée, l'usine de son père était au bord de la faillite et une belle prime d'assurance était promise à la mort d'Angelica. C'est la toute première cyborg.

Le manga fait 10 tome et il n'est toujours pas fini.
Le manga a aussi été adapté en anime, le première saison qui est sortie en 2003 se base sur les deux premiers tomes et fait 13 épisodes. Une deuxième saison nommé Gunslinger Girl Il Teatrino est sortie en 2008 elle compte 13 épisodes elle aussi. Les deux saisons ont été licenciés en France par Kaze, vous pouvez les achetés sur le site de l'éditeur


L'opening de la saison 1.


L'avis de Lana Skye ==>
J'ai beaucoup aimé ce manga, non pas parce que les petites filles sont vraiment kawaii, ou encore parce que elles ont des super flingues ou je ne sais trop quel autre futilité pour lesquels on pourrait lire ce manga. Il est un peu déroutant au début je l'avoue, voir des petites filles de 8/9 se battre avec des super mitraillettes de fou dont je n'ose même pas imaginer le poids et la puissance avec un tel sang froid et une telle assurance peut vraiment vous mettre mal à l'aise.
Les scènes d'actions se comptent sur les doigts de la main, mais à chaque fois on est vraiment content d'en trouver une car ça nous réveille bien quand ça se met à tirer de partout. On peu considérer comme un point négatif que la psychologie des personnages (bien que parfois un peu limitée) et leur relation avec leur tuteur (qui peut faire lolicon au bout d'un moment >x<) soit mise en avant par rapport à l'action ce qui peut parfois être lourd dans certains cas que je vous laisserai découvrir par vous même. Les dessins sont sympa, pour les décors, les bâtiments en pierres, les places italiennes, etc je les ai trouvés sympas. Pour les personnages, ils sont bien réalisés, bien proportionnés et il y a quelques détails appréciables.


Pour l'anime je ne l'ai pas encore visionné de peur d'être déçue mais curieuse que je suis je suis tout de même aller voir les critiques et apparemment c'est aussi bon que le manga.


Merci à tous d'avoir lu cet article et j'espère que ça vous aura donné envie de lire et de regarder ce manga. Merci à killua po (Eric) qui m'a permis d'écrire cet article pour le Mogomaniac. Je me suis vraiment bien amusée.


A très bientôt.


Lana Skye.

samedi 5 septembre 2009

Macross Ace Frontier, chant divin vidéoludique

L’activité est un peu vide sur le blog ces temps-ci, et pour cause, je rentre en Seconde (lelycéeouémdrjsuitro1pgm) donc voilà, plus de travail = moins de jeux = moins d’animes = moins d’articles. Mais ça m’aura au moins permis de jouer à Macross Ace Frontier, une petite adaptation de la série Macross sur PSP de très grande qualité.


Image de xpringox (Danbooru)

Je pense que vous connaissez tous Macross, cette série regroupant ce qu’on appelle parfois les ”plus grandes comédies musicales de la japanimation” sous fond de méchas et de faux conflits politiques. Etant donné le succés que rencontre la série au Japon (et qui pour des raisons de conflits de licence, n’aura jamais droit à la même chose en France), Namco Bandai a cru bon de lancer une adaptation en jeu vidéo. Et il a eu raison.


Dès le lancement d'une partie, le jeu vous propose de participer au scénario de l'un des 4 Macross présents dans le jeu : Super Dimension Fortress Macross, Macross Plus, Macross Seven et Macross Frontier, le tout dernier (et le seul que j'ai vu, même si je prévois de voir les autres). Si vous faites une erreur en choisissant Macross Plus alors que vous vouliez jouer d'abord au premier Macross, pas d'inquiétude : une fois le scénario terminé, vous pourrez choisir un autre scénario et ceci dans une seule et unique partie.
Une fois ceci fait, vous pouvez vous lancer "véritablement" dans le jeu. Vous avez accès à un hangar, qui vous permet de modifier votre mecha pour le rendre plus fort, plus beau et plus sexy, un tutorial qui ne sert qu'à faire joli ET. Les missions, puisque c'est le cœur du jeu. Tout d'abord, je précise : Toutes les missions se déroulent en mecha. Voilà, c'est dit. Même si vous pourrez changer votre mecha au cours du jeu. D'accord.


-Maman, c'est une image ça ?
-Oui mon petit.
-C'est trop moche ! C'est de la PSP ou quoi ?
-Oui mon petit.
-Ah ben alors c'est trop cool pour de la PSP alors !
-Oui mon petit.

Une fois monté sur votre mecha et parti pour de nouvelles aventures, il vous sera imposé divers objectifs selon la mission : Shooter tous les ennemis (95% du temps), défendre des objets, survivre ou atteindre une zone particulière. Le tout sur votre fidèle mecha, qui peut instantanément changer entre les 3 formes des Valkyries de la série : Aérienne (très maniable pour se déplacer, beaucoup moins pour le tir), terrestre (Très puissante mais peu maniable) et bipède (un très bon compromis entre les deux); vous aurez aussi le droit à 2 armes (1 minigun et 1 missile-launcher) et à une touche pour attaquer au corps à corps. Et je pense très sincèrement que ce sont les mechas qui forment la vraie force de cette adaptation : n'avez-vous jamais été déçu, en jouant à un jeu adapté de [insert whatever here], de découvrir que vous ne pouviez pas faire la même superattaquedelamort que le personnage principal ? Avouez que si. ET BIEN DANS MAF, NON !!! Vous avez toujours rêvé d'envoyer 26 missiles A simultanément, comme dans Macross 7 ? Même si vous ça ne sert à rien, vous trouvez la technique de frein en passant les propulseurs en avant de Macross F classe ? Et bien dans Macross Ace Frontier, vous pouvez faire la même chose. Oui oui, toutes les techniques de combat des héros sont ré-interprètables dans le jeu; le tout avec des effets de caméras splendides (même si elle fait PARFOIS UN PEU CHIER.) qui vous immergeront vraiment dans l'action. Donc voilà, le gameplay est une force incroyable de MAF, et si je devais le noter un jour, je lui donnerais 20/20 sans hésiter une seconde. GG Namco, je vous aime.
Au niveau des graphismes, c'est pas forcément très beau, mais pour de la PSP, le tout avec des lags très rares, c'est très respectable, sans être un point fort, il y a eu un réel travail de ce côté là. (à noter que mon .prx PSP pour les screens bugge, et donc j'ai pas pu prendre mes propres screenshots. Vous vous contenterez donc des screenshots très moches trouvés ici-là, dommage)


Après chaque mission, vous revenez au hangar afin de notamment faire évoluer votre mecha (chose rapidement indispensable) dans de diverses caractéristiques et choisir la mission suivante (oué). A noter que des missions supplémentaires se débloquent dans les scénarios différents une fois que l'on a terminé une mission d'un autre scénario : Par exemple, vous gagnerez des missions pour le scénario de Macross F en jouant à celui de Macross Seven.
Un autre point, parce qu'on joue à un jeu Macross : la bande sonore. Et, autant le dire tout de suite, je suis déçu. Il n'y a que peu de versions doublées des chansons : Par exemple, Macross Frontier ne propose les versions doublées que de Lion et de Sagittarius Don't Be Late, et Macross Plus uniquement celle de Information High. Le jeu propose au final seulement 9 chansons doublées, 2 de Macross, 2 de Macross F, 1 de Macross Plus et 4 de Macross 7 (dont une déclinée en 2 versions). Le reste sont des versions instrumentales.
Au niveau de la durée de vie, puisque ça en intéresse certains à une heure où certains jeux de guerre ne nécessitent que 6 heures pour être terminés, je précise que dans ma partie principale j'ai d'ors et déjà terminé le scénario de Macross Frontier sans les missions débloquables (soit 20% du jeu selon le menu), et ceci en 5 heures de jeu. Ainsi, on peut évaluer la durée de jeu totale à 25 heures de jeu sans compter le multijoueur qui est, d'après les dires de certains, de très bonne facture.

Voilà donc tout pour cet article sur Macross Ace Frontier. Pour rappel, le jeu est sorti le 9 octobre 2008 au Japon, n'est pas prévu en Occident et est développé par Namco Bandai. Une suite, Macross Ultimate Frontier, est prévue pour automne au Japon; et je précise d'ors et déjà que vous pouvez compter sur moi pour l'acheter et vous en faire un zoli article !11111
Je pense que je ferais sans doute un test vidéo de ce jeu quand je l'aurais terminé à 100%, mais j'ai vraiment, vraiment bien accroché à ce jeu. Macross Ace Frontier c'est bon, mangez-en.


Ranka Lee n'est pas présente dans le jeu, mais des screens prouvent sa présence (ainsi que celle de Seikan Hikou!!!!!111!1!) pour Macross Ultimate Frontier. Ça prévoit du bon !
(et l'image vient de Pixiv)

dimanche 30 août 2009

Teh Blind Test

En manque d'inspiration pour des articles, il m'est venu à la tête une idée géniale : Un Blind Test ! Alors hop, 1-2 heures sur Audacity et c'est fait \o/

Ce Blind Test regroupe donc 13 chansons provenant d'animes et de jeux vidéos. Ca peut venir de n'importe où, Bob L'éponge, Half Life ou Magical Girl Do-re-mi; n'hésitez pas à chercher un peu partout !

Pour l'écouter, c'est donc ici :


Vous pouvez le télécharger ici : Download

Les règles :

-Le but est donc de chercher les titres, artistes, et origine (JV/Anime of course D:) des 13 chansons présentes dans ce fichier MP3.
-Une fois que vous pensez avoir trouvé, il suffit de m'envoyer un mail à killuapo@gmail.com avec les 3 données correspondant à chaque chanson.
-Chaque donnée équivaut à 1 point. Ainsi, vous pourrez avoir 39 points; c'est sur ces données que nous établiront le classement.
-Vous avez 10 jours pour tout trouver. Passé ce délai... gtfo.
-Chaque extrait dure approximativement 20 secondes. Sauf le dernier. Mais aussi, c'est la fin, donc il faut une bonne fin. Aucun lapsus. :freud:

Voilà voilà tout. Bonne chance à tous nos participants \o/

EDIT : Correction, c'est 13 chansons, pas 12. :fail:

vendredi 21 août 2009

Eureka Seven : Teh Movie

Annonce de Persona 3 Portable : Ouais trop cool un personnage féminin en plus, mais je suis mitigé. Je vais devoir payer le jeu une 3e fois ?

Vous avez sans doute déjà du lire mes impressions enthousiastes sur Eureka Seven, qui est le précédent article avec lequel vous avez vécu une famine d’articles de 15 jours. J’avais ENORMEMENT apprécié cette série, qui est sans doute ma préférée avec Gurren Lagann (si celle-ci n’est pas surpassée !) du coup, en apprenant que un film Eureka Seven était sorti depuis avril et était déjà dispo sur le net dessus, je me suis jeté dessus comme un loup affamé. Car oui, après le maraton de 42 heures, j’étais un peu en manque d’Eureka Seven !


Le film n’est pas une suite, ni un résumé comme Evangelion ou Gurren Lagann. Psalms of Planets Eureka Seven : Good Night, Sleep Tight, Young Lovers (ou de son nom original Eureka Seven : Pocket Full of Rainbows) se déroule dans un univers parallèle, où Eureka et Renton se connaissent depuis l’enfance. Depuis 40 ans, l’Image, une entité terrestre (que les fans auront vite fait de comparer au Scab Coral) lance des attaques incessantes contre l’humanité pour l’anéantir et s’emparer de son territoire. Les parents de Renton sont scientifiques, et Eureka est une patiente de leur centre assez spéciale : la lumière du soleil lui inflige de la douleur. Un jour, l’armée envahit le centre scientifique et kidnappe Eureka pour la subir à des expériences. Huit ans plus tard, Renton rejoint le Gekko-Go, un vaisseau de l’armée des Rebelles, pour sauver le ”sujet hautement confidentiel” soit Eureka.

La trame du scénario n’est pas le seul élément qui change comparé à la série. Le film réserve quelques surprises, autant pour les personnages que pour la trame qui est un point fort du film. Par exemple, Dewey, même s’il reste un élément important du scénario, n’est plus le frère de Holland (le lien familial n’étant plus nécessaire). Une autre chose qui a changé : le Nirvash est présent depuis l’enfance des personnages (depuis qu’ils ont selon la ligne temporelle du film 2 ans, au moins) personnifié sous une espèce de mélange d’oiseau, de poulet et de visage humain (ça vous paraît bizarre quand on le dit, je sais) même s’il évoluera ensuite bien sûr en le Nirvash typeZero que nous connaissons. À mon avis, personnifier le Nirvash en lui donnant un côté plus humain avec des espèces de couinements (Mokyuu !) était une mauvaise idée. Rappelons-nous : dans la série Eureka Seven originelle, une des particularités de Renton, et surtout d’Eureka, était de pouvoir lire dans le cœur de Nirvash, et de lui ”parler”. Le mecha, quand à lui, ne pouvait que répondre en agissant, comme avec la désobéissance qu’il applique à certains épisodes. Certes, à la fin de la série, le Nirvash parlait, mais c’était dans un cas assez exceptionnel, on ne sait même pas comment ils l’ont entendu. Dans le film, cela casse tout le caractère mystérieux de Nirvash, un des points qui étaient une force de la série. Un autre point faible du scénario, la narration : les scènes d’action sont cassées par une narratrice censée expliquer le pourquoi du comment de l’action, et c’est assez relou, surtout quand on est en plein milieu d’une scène critique.

Vous voyez le bidule dans les bras de Renton ? C'est le Nirvash. Dur à croire, je sais.

Pour revenir à la trame, elle réserve quelques bonnes surprises par rapport à l’identité des membres du Gekko-Go, et révèle même l’origine du nom de la licence. Globalement, une bonne partie des personnages présents dans le film n’ont plus grand-chose à voir avec ceux d’ont ils s’inspirent, si ce n’est le nom et la forme. Leur mentalité change radicalement, et certains personnages possèdent des idéaux très différents des originaux; les fans seront également ravis de voir que certains éléments mystérieux de la série sont repris pour le bon compte du film (comme le mystérieux livre que lisait Talho). Malgré cela, le film ne demande pas de connaissance particulière de la série pour être compris. Les fans comprendront certaines choses à caractère globalement anecdotique, mais votre petit frère de 7 ans qui n’a pas regardé les 50 épisodes (soit 1200 minutes, je rappelle) de la série originale ne sera globalement pas désavantagé dans la compréhension du scénario global par rapport à vous.

En repensant un peu au film un peu après l’avoir vu, il est tout à fait imaginable une théorie (que j’ai également retrouvé sur quelques forums, en surfant vaguement) comme quoi le film se déroulerait pendant le ”premier” 21ième siècle, avant que l’humanité déménage vers une autre planète (dans le premier E7). La majorité des détails concordent parfaitement (la seule chose qui ne va pas c’est les mechas, puisque le contrôle des mechas et la découverte du Trappa remonte à l’époque où Axel Thurston était à Varsovie), et insérer les personnages pendant cette partie temporelle remplirait un moyen de raconter l’histoire sans avoir à insérer des personnages et à avoir à les développer. De plus, on peut parfaitement considérer le Neverland du film comme l’endroit où atterissent les personnages à la fin de la série en entrant dans le Coralien (là où se retrouvent Dominic et Anemone), entre l’ancienne Terre et la nouvelle. Mais cela ne reste qu’une théorie, et cela n’a pas été le moins du monde confirmé ou approuvé par le scénariste.

En ce qui concerne l’animation, le film utilise à la fois des images de la série originelle (parfois modifiées pour certains détails), des images recyclées avec des changements (généralement au niveau de la coloration surtout) et des nouvelles images faites main. Les images reprises seront aiséments reconnues, tandis que l’on découvrira avec plaisir les images originales, généralement de meilleure qualité et mieux adaptées pour le cinéma. Les nouveaux dessins sont également mieux adaptés au grand écran; ils sont plus grand, fourmillent de détails quand ils le peuvent et s’accompagnent d’une musique qui se veut plus dramatique, sans pour autant oublier ce côté un peu moderne qui faisait sa force dans la série originale. On a de nouveaux des scènes d’action dynamiques et entraînantes comme dans Eureka Seven, mais elles s’avèrent malheureusement trop rares.


En conclusion, le film d’Eureka Seven s’adresse avant tout aux fans d’Eureka7, par ses personnages, son univers et ses petites anecdotes. Le reste, lui, s’ennuiera sans doute, encore plus s’il n’a pas aimé la série ou s’il prête plus d’attention aux scènes d’actions qu’aux discussions. Un bon film pour les fans, certes, mais qui aurait peut-être mérité à être développé en une série d’une douzaine d’épisodes.