vendredi 31 juillet 2009
Eureka Seven - Surfons sur la vague
Et bien, résultat : si Gurren Lagann n'avait pas existé, cette série aurait sans doute été en haut de mon Top 5 !
Je ne m'éterniserais pas sur le scénario : Renton, 14 ans, fils du grand héros Adrock Thurston, lassé de sa vie monotone, s'engage dans le Gekko State, un vaisseau clandestin qui pratique du "ref", un sport qui consiste à surfer sur des vagues de Trapar, une matière présente dans l'air de certaines parties du monde. Il y rencontre/retrouve Eureka, une jeune fille (dont il tombe instantanément amoureux) qui a "accidentellement" écrasé sa chambre quelques heures avant avec le robot légendaire, le Nirvash typeZero.
Le scénario de base, basique, s'enchaîne ensuite avec l'apparition des Coraliens, qui sont des êtres ma foi assez difficiles à décrire tant ils sont étranges, que les militaires veulent à tout prix détruire, pour une raison que les hauts leaders du Gekko State, dont le célèbre Hollander, semblent vouloir lui cacher. Divers personnages apparaissent au fil de l'anime, comme la mystérieuse Anemone. C'est d'ailleurs un point fort d'Eureka Seven, comme je l'avais déjà souligné avec Xam'd Lost Memories : les personnages, qui sont utilisés de façon magistrale par le scénariste. J'avais par exemple peur une fois arrivé au milieu de la série que Anemone soit sous-utilisée, mais elle gagne tellement d'importance à la fin de la série que j'avais presque oublié avoir pensé ça. Même si ça ne m'empêche pas de haïr certains personnages (comme les gamins, même après que leur comportement se soit "amélioré" je les hais toujours, je hais les gamins, surtout Maurice, le petit con qui se croit avantagé par rapport par rapport à Renton, je te hais)
Mais cette série aura avant tout réussi à déchainer la PASSION en moi, parce que Eureka Seven m'a fait prier, Eureka Seven m'a fait pleurer (putain la SCENE OU EUREKA APPREND QUE RENTON EST PARTI DU VAISSEAU, C'EST TROP TOUCHANT, NE FAITES PLUS JAMAIS ÇA BORDEL), Eureka Seven m'a (presque) fait crier (j'aurais bien hurlé "OMG QUEL FILS DE PUTE" ou "WRYYYYYYYYY VAZY BUTE-LES TOUS" mais il était 5 heures du mat), Eureka Seven a fait bouillir mon sang comme seul Gurren Lagann avait pu le faire ("VASCUD CRISIS, JE VAIS DISSOUDRE TA CERVELLE !!11!"), le tout accompagné par une PUTAIN D'OST (à la fois les openings, les endings que les insert musics) et plein d'autres choses qui font que Eureka Seven poutre, et m'a scotché à mon écran pendant ces 50 épisodes.
Au final, Eureka Seven est un anime qui tue, que vous vous DEVEZ de regarder, que ce soit tout seul dans votre grotte ou en famille (même si ils vont bien rire à l'épisode où Eureka se ma... ma... ma... NON DES SOUVENIRS TROP DOULOUREUX REFONT SURFACE, JE NE PEUX CONTINUER), que vous vous les enchaîniez tous d'un coup ou au même rythme de publication original (un épisode par semaine en un an avec tout le suspens qui va avec, bonne chance !), de quelque manière que ce soit, regardez cette tuerie interstellaire, s'il vous plaît. Je savais que j'allais me faire chier pendant ces vacances, mais maintenant que j'ai vu Eureka Seven, même si je vais passer 3 semaines dans un trou perdu dans l'infini, je suis satisfait, j'ai vu un putain d'anime incroyable avant de partir, je peux maintenant survivre à toutes les attaques cardiaques.
Apparement un film est sorti en avril et a été diffusé il y a quelques semaines au festival de jenesaispasquoi à Bohn (saleté de BOSCHES QUI ONT AUSSI EU EVANGELION 2.0 JE VAIS LES TUER!!11111!!) et même s'il serait apparement naze je vais quand même le regarder, je le télécharge là en ce moment et j'écrirais quelque chose dessus à mon retour.
Maintenant, écrivez toute la merde que vous voulez sur moi pendant ces 3 semaines, sur les blogs ou les forums que je visite, car je viendrais vous frapper fort à mon retour. Et interdiction d'insulter Eureka, de toute façon tout le monde aime Eureka.
mardi 28 juillet 2009
Hunter X Hunter
Gon est un jeune adolescent dont le rêve est de devenir un Hunter; ces derniers sont aventurieurs d’élite, pratiquant des activités aussi variées que la chasse (à l’animal, ou à l’homme), la cuisine, l’archéologie ou même zoologues. Être un hunter constitue généralement un titre plus qu’honorable, certains n’hésitant pas à revendre leur licence de Hunter contre des monts et merveilles. En effet, pour devenir un hunter, il faut passer un examen de la plus haute difficulté mettant les candidats dans des situations extrêmes; on dit qu’un seul candidat tous les trois ans devient un hunter à sa première tentative.
On peut dénombrer 2 personnages principaux :
De droite à gauche :
-Gon, personnage principal, jeune et naïf, un peu le stéréotype de héros de shonen. Il est devenu hunter pour retrouver son père, Jin Freecs, le plus grand hunter de tous les temps. Il est armé d’une… canne à pêche (comme quoi dans les mangas, tout est dangereux)
-Killua, ou Kirua dans la version française, est le fils de la famille des célèbres tueurs à gages Zoldik. Un jour, il en a eu marre de cette vie et s’est en allé faire l’examen pour devenir Hunter, pour s’ ”amuser”. Il possède des réflexes surhumains, datant de l’époque il était un tueur.
La plupart des autres personnages sont spécifiques à certains arcs (Biscuit) ou perdent de l’importance au fil des tomes (Leolio, Kurapika).
La série se divise en 5 arcs :
-L’obtention du diplôme de Hunter, qui se déroule plus rapidement que prévu (je m’attendais à ce que le manga tourne autour de ça, j’ai été bien dupé)
-La découverte du nen. Après l’obtention du diplôme, Gon commence à s’entraîner physiquement pour aller chercher son père. Lui et Killua découvrent ensuite le nen, une force intérieure qui se révèlera rapidement indispensable pour la suite des évènements.
Le nen se divise en 4 parties :
-Le Ren, qui consiste à concentrer une aura exceptionnelle; cela se divise en plusieurs catégories : le Ken, le Ko et le Gyo (qui consiste à concentrer toute son aura en une certaine partie du corps, comme le poing, rendant vulnérable le reste du corps)
-Le Ten, qui permet de contrôler l’aura qui contrôle le corps.
-Le Hatsu, qui est sans doute la partie la plus importante. Chaque utilisateur du nen possède un Hatsu différent :
- La matérialisation, qui permet de matérialiser l’aura.
- Le renforcement qui permet de donner plus de force physique ou d’augmenter l’efficacité d’un objet.
- L’émission, permettant de ”projeter” l’aura.
- La transformation, qui permet de changer les propriétés de l’aura.
- La spécification, qui donne une aura particulière aux attributs singuliers.
- Et enfin la manipulation, qui permet de contrôler de la matière (inerte comme vivante).
-Et enfin le Zetsu, qui permet de séparer l’aura du corps.
C’est le nen qui va ensuite changer singulièrement les combats qui viennent ensuite dans le manga. En effet, alors qu’avant il y avait assez peu de combats, et qui étaient assez sommaires, il s’agira ensuite tout simplement d’un ”qui utilisera le mieux son nen” donnant place à énormément de refléxion dans les combats, bien plus que dans n’importe quel autre manga. Chaque combattant doit s’adapter au nen, et surtout au Hatsu, de son adversaire, donnant une notion stratégique à chaque combat.
Le troisième arc est celui de York Shin City. Gon et Killua, venus pour acheter un exemplaire du jeu ”Greed Island” très rare et très cher, vont également y retrouver Leolio et Kurapika, dont ce dernier est à la recherche de la brigade fantôme, qui avait décimé tout son clan.
Le quatrième arc se déroule à Greed Island, le jeu développé par le père de Gon. Gon et Killua se retrouvent immergés dans le jeu et devront en trouver la sortie pour avoir des indices sur le père de Gon. À partir de là, la série devient moins relâchée, et on sent réellement la différence entre les combats des arcs précédents et ceux depuis que les personnages savent utiliser le nen.
Enfin, le cinquième arc est celui en cours, celui des Kimera Ants. Gon et Killua vont partir à la recherche du roi des Kimera Ants, qui se prépare à manger des millions de personnes afin de nourrir sa faim de nen. Malheureusement, le rythme de celui-ci est irrégulier, comme à l’époque de Yuyu Hakusho (un autre manga de Yoshihiro Togashi) l’auteur étant très malade, on ne voit la couleur d’un chapitre que un Shonen Jump sur 4 (au hasard).
Le manga s’est vu adapté en un anime de 62 épisodes, qui s’arrête juste avant l’arc de Greed Island (ce dernier s’étant vu adapté en une série d’OAVs). Il est licencié en France par Dybex, tout comme le manga français (qui a rattrapé la publication japonaise) est arrivé ici grâce à Kana (qui nous livre ici une traduction de qualité).
Au niveau des adaptation en jeux vidéos, au delà des nombreuses adaptations par Konami, les personnages ont notamment fait apparition dans Jump Super Stars et Jump Ultimate Stars, sur DS.
En bref, Hunter X Hunter est un manga de qualité, surtout grâce à ses combats dynamiques et qui prennent une autre dimension grâce à l’utilisation du nen, que je ne peux que vous conseiller de lire si vous aimez les shonen (et que vous êtes patient, surtout !)
lundi 27 juillet 2009
Yoshi Tama - Y'a pas que Tony Taka et Shunya Yamashita dans la vie
Yoshi Tama, tel est son nom, s'amuse à dessiner des personnages de Touhou tels qu'ils le seraient s'ils étaient des mechas. On peut donc reconnaître plus bas respectivement Ibuki Suika, Shameimaru Ayu et Konpaku Youmu. Au fait, aviez-vous reconnu plus haut Yasaka Kanako ?
D'accord, c'est peut-être potable, mais c'est loin d'être le mieux que j'aie vu parmi les doujins Touhou. Très loin...
Il a aussi fait quelques autres dessins de mechas assez sympathiques... Chose à laquelle il est bien meilleur que le dessin traditionnel.
Si vous voulez d'autres informations sur l'auteur, sachez que c'est tout ce que j'ai. Après avoir remué le net dans tous les sens, sans rien trouver d'intéressant, malheureusement. Aucun artbook, collectif de dessins... On est loin d'autres dessinateurs qui font parler d'eux tous les jours ! Malgré cela, une bonne partie de ses dessins sont trouvables sur Gelbooru (retirez le rating:safe dans la barre de recherche pour inclure tout ce qui est NSFW). J'ai quelques autres de ses croquis trouvés ici-là sur 4chan ou autres sites du genre, mais si quelqu'un connaît une source où on pourrait trouver plus de dessins, et bien, j'accepterais ça dans les commentaires avec plaisir ;D
Voilà à quoi aurait pu ressembler Touhou 6 si ZUN avait les mêmes inspirations que notre dessinateur...
vendredi 24 juillet 2009
HARDWARE DE ROUMAIN RAGE
mercredi 22 juillet 2009
test : Taiko no Tatsujin DS !
Titre complet: Taiko no Tatsujin DS : Touch de Dodokon!
Dates de sorties:
- Japon: Août 2007
Genre: Jeu musical
Développeur: Namco
Editeur: Namco Bandai
Nombre de joueurs: 1 à 4
Nintendo WFC: Non
Code CERO: A (tous publics)
Disponible sur: Nintendo DS
Le roi des salles d’arcades japonaises arrive sur Nintendo DS dans une version spécifiquement étudiée pour la console. Voyons donc ce qu’il en est de ce jeu...
Êtes-vous déjà allé dans une salle d’arcade japonaise ? Si oui, vous avez obligatoirement dû remarquer une de ces grosses machines ressemblant à des tambours géants qui rendaient les autres jeux d’arcades obsolètes. Il s’agit de Taiko no Tatsujin, un jeu mettant en scène un batteur de tambour (VOUS) afin de terminer un morceau de musique. Si les versions Arcades et PS2 mettaient en scène des tambours, la DS n’en a pas la possibilité par son hardware (c'est une console portable, pas un orchestre de poche !)
Pour remplacer ce problème, Namco a bien sur utilisé les capacités tactiles de la console, en mettant en place un tambour sur l’écran tactile...
Cependant, Namco a tout gâché à cause d’une trop grande difficulté et de trop de restrictions dans le mode d’emploi, du fait qu’on passe rapidement aux boutons.
Mon dieu, je vous parle du gameplay d’un jeu sans vous en avoir expliqué le concept ! Le jeu se déroule un peu comme un Dance Dance Revolution : des têtes de Taiko arrive de la droite de l’écran et c’est à vous de les taper au bon moment et de toucher un différent endroit de l'écran tacticle selon la couleur. Même si c'est assez lent en facile, le tout s'enchaîne bien plus rapidement dès qu'on atteint des niveaux de difficulté supérieurs : Normal, difficile puis le mode à débloquer, le mode Oni !
Concernant la playlist, je vous laisse déduire par vous même :
J-pop
さくらんぼ (Sakuranbo)
気分上々↑↑ (Kibun Joujou↑↑)
夏祭り (Natsu Matsuri)
決意の朝に (Ketsui no Asa ni, thème de Brave Story)
Won't Be Long
マタアイマショウ (Mataaimashou)
DANCE2 feat.ソイソース (DANCE2 feat.Soysauce)
Anime
Touch
Together (Pokemon: Diamond and Pearl series)
Jūken Sentai Gekiranger
Yes! PreCure 5 Smile GoGo!
Doraemon
Detective Conan Main Theme
Anpanman
Classical
Symphony No. 7 (Beethoven)
William Tell Overture (Rossini)
Orpheus in the Underworld (Offenbach) (aka the can-can song)
Flight of the Bumblebee (Rimsky-Korsakov)
Classic medley (Wedding compilation)
Fantaisie-Impromptu (Chopin) (Unlockable)
Video game music
Super Mario Bros. ( Super Mario Bros sur NES )
Go my way ( Idolm@ster sur Xbox 360 )
Arkanoid medley
Twinbee Yahho! opening theme
Namco original
キミにタッチ!
もじぴったんメドレー
KAGEKIYO
風雲!バチお先生
黒船来航 (unlockable)
太鼓乱舞 炎の卷 (unlockable)
太鼓乱舞 風の卷 (unlockable)
太鼓乱舞 水の卷 (unlockable)
てんぢく2000 (unlockable)
Variety
たらこ・たらこ・たらこ (Tarako Tarako Tarako)
Traditional
もりのくまさん (A Bear in the Forest)
いぬのおまわりさん (Dog Policeman)
Playlist donc assez variée. Malgré cela, le jeu reste assez répétitif, et on y joue rarement plus à raison de 10 minutes par jour.
Le jeu est également assez personnalisable; on peut personnaliser son Taiko (ce qui ne sert finalement qu'à frimer en multijoueur) On peut changer les sons que l’on fait lorsqu’on bat. Ainsi on peut changer les battements de tambour par des sons de batteries, du chant...
Il y a également un mode DOJO, où vous pourrez jouer 1 fois chaque jour pour augmenter votre grade (à quoi il sert, ça j’en sais rien) et débloquer des nouvelles chansons et de nouveaux objets à personnaliser.
Le mode multijoueur permet de s’affronter avec une unique carte jusqu’à 4 sans restriction : même en mode téléchargement DS, toutes les musiques, difficultés, etc. sont disponibles. MERCI Namco, ca n'arrive pas souvent !
- Les PLUS:
Musique variée
Personnalisation
Long
Difficulté bien dosée (même si le mode facile l'est un peu trop)
Très bon mode multijoueur
- Les MOINS:
Pas de grande originalité (à part les stylets, qui sont mal exploités) par rapport aux opus sur autres consoles
On passe rapidement aux boutons
- Graphismes: 14/20
Les graphismes typés mangas sont le strict nécessaire pour ce jeu. Pas besoin de plus, et on va pas se plaindre de ne pas avoir moins.
- Jouabilité: 13/20
Un des points faibles du jeu; Namco a voulu jouer au stylet, mais ça a mal tourné et les boutons prennent vite le dessus, et sont même indispensables aux derniers niveaux. À part ça, RAS.
- Sons: 17/20
Il y en a pour tous les goûts, tant que vous ne haïssez pas la musique japonaise : de la Jpop, des classiques du jeu vidéo, de la musique classiques, des openings...
- Durée de vie: 15/20
Même si les sessions de jeux sont généralement courtes, on y revient avec plaisir. Les différents modes de jeux varient le plaisir, et le mode multijoueur est très bien réalisé pour des petites parties entre amis.
- NOTE FINALE: 15,5/20
Taiko no Tatsujin figure parmi les petites perles de la DS qu'on ne verra sans doute jamais en occident. Il n'est pas parfait, mais suffisament addictif pour vous tenir tête un petit bout de temps.
Egalement; si vous achetez ce jeu sur ebay, Amazon ou autre site d’enchère (même si Amazon n’en est pas un), vérifiez qu’il s’agit de la version mise à jour (avec la petite tête en bas à gauche); les versions non mises à jour souffrent d’un bug de sauvegarde très contraignant.
vendredi 17 juillet 2009
Xam'd : Lost Memories, avis final
Quand à la fin, puisque c'est celle-ci que j'ai eu le plaisir de visionner, elle est étonnament triste par rapport au reste de l'anime, plusieurs personnages meurent (enfin pas vraiment), je suis assez triste pour celui qui est mort sur le toit de la chambre d'Accélération (pour pas spoiler on va mettre des paraphrases), je ne m'y attendais pas vraiment mais son sacrifice est vraiment honorable pour son personnage. Dans tous les cas, cette fin était vraiment d'une grande qualité, autant sur le plan visuel que scénaristique puisqu'on a pas droit à des courbettes d'acrobate de la part du scénariste, sans pour autant que ça sombre dans le classicisme.
dimanche 12 juillet 2009
Jeux de l'été
lundi 6 juillet 2009
REC : C'est dans la boîte
REC donc, c'est un anime qui parle d'une seiyuu (doubleuse) nommé Aka Onda. Celle-ci souhaite "devenir Audrey Hepburn" (une actrice célèbre britannique du XXième siècle qui a connu son heure de gloire avec des films comme Sabrina ou Vacances Romaines). Elle rencontre Fumihoko Matsumaru, un salaryman déprimé et qui s'avère vivre dans l'immeuble voisin de chez elle. La nuit après leur rencontre, l'immeuble d'Aka brûle dans un incendie et Matsumaru lui propose de venir vivre chez lui.
Première chose, si vous espérez apprendre des choses sur le rôle de seiyuu (doubleurs), vous n'en apprendrez pas grand chose. Il vaut mieux dans ce cas-là se tourner vers le manga Koe no Oshigoto ou vers cet excellent article d'Axel Terizaki sur les seiyuu.
Car Aka est une seiyuu très, très chanceuse. Au milieu de l'anime, survient un incident, limite drôle, qui fait grimper la popularité de l'héroïne; l'anime ne se concentre donc pas sur le rôle de seiyuu, mais sur la vie quotidienne de Matsumaru et d'Aka, qui va, vous le comprenez aisément, vite se changer en vie de couple.
Le format de REC est assez différent de la majorité des animes : chaque épisode, de cette série qui en comporte 9 (plus un épisode bonus, si j'ai bien compris) ne dure pas plus qu'une douzaine de minutes, opening et ending compris. Cela rentre parfaitement dans le cadre de cet anime, qui se veut simple et léger.
Au final donc, REC est un petit anime qui ne se veut pas porteur de grands espoirs, mais si vous avez quelques minutes à tuer pendant une journée, un épisode convient parfaitement.
samedi 4 juillet 2009
Tales of Vesperia - 1eres impressions
Première chose importante, certaines gammes de disques durs buggent avec Tales of Vesperia (dont le mien). Des messages d'erreur "Disque illisible" apparaissent à l'écran alors que le disque est en parfait état. La solution ? Retourner dans l'interface, Paramètres, section mémoire, appuyez sur Y une fois votre disque dur sélectionné avec le stick, et là faites la combinaison X, X, LB (première gâchette gauche), RB (première gâchette droite), X et X. Acceptez de faire la maintenance du disque dur. Cela aura pour effet de vider le cache, et vous pourrez jouer convenablement.
Mais cela ne durera pas éternellement cependant, il faudra régulièrement aller le faire. On ne sait jamais quand le message revient, alors sauvegardez autant que vous le pouvez si vous rencontrez ce problème.
Bon, venons-en au coeur du sujet : le JEU. Mes impressions après 6 heures de jeu (serious business !)
Les graphismes déjà sont de toute beauté, y'a un côté très Wind Waker que j'aime beaucoup, enfin bref le moteur graphique est d'excellente facture, chose à laquelle je ne m'attendais pas en achetant le jeu.
Le gameplay est lui aussi très sympathique, le tout est en temps réel, enfin les adeptes de Tales s'y connaîtront déjà (moi c'est mon 2e Tales et je suis pas fan dutout alors jétépasur) puisqu'il n'a pas beaucoup évolué depuis TotA et ToS (du moins selon mes INFORMATIONS).
Le scénario est un des points forts du jeu : alors qu'au début on s'attend à une simple histoire de vol de blastia (des jolies perles qui permettent de faire de la magie) et de princesse qui veut prendre l'air, ça évolue en complot (c'est mal les complots, mais ça vous le saviez déjà) avec des ennemis PSYCHOPATHES (Zagi, best.enemy.evar. "mah blade wants TO KILL!!11§§") et pleins de méchants au sein d'un méchant empire. Les personnages principaux sont bien sympathiques eux aussi, Yuri a la classe et des répliques qui tuent, Estellise n'est pas aussi conne que Colette (je vous ai jamais dit que je déteste Tales of Symphonia ? Sachez-le) et Raven est un putain de personnages avec encore plus de putain de répliques que Yuri.
J'ai eu un peu de mal à décrocher du jeu aujourd'hui, je me suis enchaîné 4 heures de jeu, ce jeu me botte vraiment.
Bref, c'est plus que ce à quoi je m'attendais, c'est vraiment un must-have pour les fans de RPG autant que pour tous les joueurs (tant que vous vous appelez pas Kévin, que vous n'avez pas 13 ans et que votre manga préféré n'est pas Dragon Ball/Cowboy Bebop/Naruto/One Piece (rayez la mention inutile), je pense que vous pouvez apprécier cet excellent jeu). Enfin, c'est ce que j'en dis, mais j'en suis à 6 heures de jeu seulement hein. Alors, si vous avez encore des doutes sur le jeu à acheter, achetez Tales of Vesperia, pas Star Ocean Last Etron. (haha citer Gamerama c'est le mal, surtout quand j'ai pas joué au jeu)