samedi 12 septembre 2009

SUPRIZE !

Teh Mogomaniac iz naow on teh internet, at teh adress http://www.mogomaniac.com, unbelievable ! We are teh kings of teh interwebs !


Image en exclusivité sur le vieux Mogomaniac, vous êtes chanceux bande de larves. En tout cas, l'image vient de Buemba (profil Safebooru).

Bon si vous n'aviez rien compris aux 2 lignes au-dessus, sachez que ce fantastique blog, le Mogomaniac, vient de passer au stade supérieur du blog. On a maintenant un nom de domaine en .com, parfait pour attraper les visiteurs réticents à notre puissance mentale. L'histoire du blog en .blogspot.com s'arrête donc maintenant. On laisse les articles présents, au cas où il y aurait un petit problème, mais il n'y aurait plus les nouveaux articles tous nouveaux tous frais faits pour la nouvelle version, Mogomaniac deux point zéro. (c la résurecsion!!!!!!!!)

On passe donc de Blogger, un peu trop restrictif au niveau des possibilités, à Wordpress, pleinement évolutif et surtout moins restrictif. Le thème actuel n'est pas définitif, il pourrait changer dans les semaines à venir pour un truc trop trop mieux. J'ai pas choisi Dotclear puisque il bugge mon hébergement OVH, dommage, je l'aimais bien !

En attendant, n'hésitez pas à donner vos suggestions pour améliorer encore plus le Mogomaniac. On a besoin de vous, on a rien compris à la vie.

Macross : Ai oboeteimasu ka ?

Macross : Do You Remember Love ? est un film de Tatsunoko Studios sorti en 1984, résumé d’une partie de la série Macross, connue en Occident sous le nom Robotech.



Macross DYRL (que j’abrègerais ainsi) ne commence pas directement au même endroit que la série originale. Alors que Macross commence à l’arrivée du SDF-1 sur Terre, le film commence au milieu d’une bataille spatiale, bien après le début de l’ascension de Linn Minmay (chanteuse célèbre qui deviendra rapidement un personnage principal). Il finit également sans aborder la reconstruction de la Terre. (ne me dites pas que je spoile)
Macross DYRL, pour ceux qui ne connaissent pas, se déroule en 2009. 10 ans auparavant, un gigantesque robot/vaisseau spatial s’écrase sur une île du Pacifique. Les gouvernements du monde entier s’allient pour créer ce qui deviendra le SDF-1, « Super Dimension Fortress » numéro 1. Mais alors que ce « Macross » vient d’être inauguré, des extraterrestres, les Zentradis, anéantissent la Terre. Le Macross, avec 56 000 habitants à bord, téléporté à l’autre bout de la galaxie, se lance à présent dans la quête de regagner la Terre... Hikaru Ichijo, pilote de Valkyrie, un mecha de l’armée, rencontre par accident Linn Minmei (les deux orthographes sont possibles), l’idole dont il est le plus grand fan. A partir de là démarre une intrigue à la fois amoureuse (Le triangle amoureux Hikaru/Linn/Misa), musicale (les chants de Minmei) et spatiale (batailles dans l’espace).


Le film Macross résume l’anime entre la rencontre entre Linn Minmay (c'est pas elle sur le screen hein) et Hikaru Ichijo, et la bataille finale entre Zentradis, Meltrandis et Microns. Elle n’aborde donc ni la reconstruction, ni les débuts de Linn Minmei. De plus, il y a quelques différences par rapport à l’anime (d’après ce que j’ai lu) : Par exemple, Hikaru rencontre ici Linn alors qu’elle est déjà une star, contrairement à l’anime. (je précise au cas où que je n’ai pas vu l’anime Macross/Robotech et que me base sur des trucs vus sur le net hein)
Le scénario s’améliore au fil du temps et, sans être foudroyant, a le mérite d’être plus que divertissant et réserve quelques surprises (la Protoculture, opposition Zentradi/Meltrandis…) Le triangle amoureux est également de qualité, pas tellement de parties gnangnan et le résultat final a le mérite d’être surprenant !
Quand à la bande sonore, elle est excellente à la fois pour les titres instrumentaux (de grande qualité) comme pour les chansons pop interprétées par Linn Minmay/Mari Lijima (sa doubleuse) : On se souviendra notamment de Ai Oboeteimasu ka (qui a connu un excellent fandub), chanson ultime à la qualité indiscutable et à l’effet aussi surpuissant que Seikan Hikou dans l’épisode 14 de Macross Frontier !


La qualité graphique, je dois l’avouer, m’a SURPRIS. Vraiment surpris. Le film date de 1984, et malgré ça on a droit à une qualité de tonnerre (j’ai appris plus tard que le film avait un budget 2 fois supérieur à celui de la superproduction japonaise lambda de l’époque ; pas étonnant). Les dessins sont magnifiques, même pour le character design (même s’il a un peu vieilli depuis l’époque) et les batailles spatiales sont très dynamiques (dommage qu’elles soient si rares, encore une fois).


De gauche à droite : Hikaru Ichijo, le frère de Minmay, Linn Minmay, Roy (un autre pilote) et la supérieure de Hikaru, Misa Hayase.

En clair, j’ai énormément apprécié ce film. Il est totalement visible sans avoir vu un seul Macross, et encore mieux ; il vous motivera pour voir le reste ! Il est représentatif de ce que doit être un Macross : de la bonne musique, un triangle amoureux et des batailes dans l’espace. Il a en plus l’avantage de ne pas être licencié sous la licence maudite Robotech ! Bref aucune raison pour passer à côté. Foncez !


*fier du screenshot*

jeudi 10 septembre 2009

Résultats du Blind Test

En attendant Crash Course, le nouveau de DLC de Left 4 Dead (mais vu le temps que ça prend pour Valve, pas sûr que je vais pouvoir faire la partie que je prévoyais avec mon pote), je me suis souvenu que je n'avais pas donné les résultats du Blind Test. Voilà donc les résultats, avec un jour de retard !


Note : Si vous voulez refaire le BT "tout seul", il est toujours dispo ici.


On commence d'abord par les chansons de ce Blind Test...


1ère : Générique de Umineko no Naku Koro ni, de Akiko Shikata : Katayoku no Tori.

Série inspirée du 3e visual novel When Then Cry; je compte jouer au Visual Novel dans peu de temps, en attendant j'ai gaiement viré Umineko de ma liste d'animes à voir.

2ème : Insert Song de Macross : Do You Remember Love, de Mari Lijima : Ai Oboeteimasu ka

Très bon film que j'ai vu récemment et qui se veut un remake de la première série Macross; et il pose en plus les bases pour les Macross suivants (ceux après 1984). Vous verrez bientôt un article dessus ;D

3ème : Ending de Mass Effect, de Jack Wall et Sam Hulick : M4 Part 2 Faunts

Meilleur ending de JV de tous les temps; il vaut à lui tout seul l'achat du jeu (très bon jeu d'ailleurs).

4ème : Insert music de Persona 4, de Shoji Meguro : A New World Fool

Un des meilleurs titres de l'OST de Persona 4 à mon goût, même si celle-ci à tendance à se ressembler malheureusement un peu trop.

5ème : Ending de Higashi no Eden, de School Food Punishment : Futuristic Imagination

Un ending assez déroutant au début (surtout pour le visuel), mais que j'ai trouvé après plusieurs écoute assez dynamique. Notons que School Food Punishment a aussi interprété le titre lors de la Japan Expo 2009.

6ème : Insert music de Touhou 7, de ZUN : Necrofantasia

Thème de Yukari, master des boundaries. On reconnaît aisément le style dynamique de ZUN ;D

7ème : Insert music de Half Life 2, de Valve : The Innsbruck Experiment

J'avoue que j'ai eu du mal pour retrouver le vrai titre de ce fichier, puisque j'avais pris ce fichier parmi mes fichiers Half Life 2 et nommé "HL2_song3"... En tout cas, pas le plus représentatif de la qualité de l'OST, mais j'avoue que c'était la plus dure. OK.

8ème : Insert music de Time Hollow, de Masanori Akita : Changed the Past 2

Un des morceaux de la très bonne OST de Time Hollow. J'ai voulu prendre l'opening au début, mais je sentais que je devais corser la difficulté ;D (comme si elle était déjà pas assez difficile)

9ème : Opening de Street Fighter IV, de EXILE : The Next Door/Indestructible

OUI OK OK C'ETAIT LE PIRE MORCEAU DU BLIND TEST OK OK OK

10ème : Insert song de Higurashi no Naku Koro ni, de Yuzuki Kaoru : Thoughts/Omoi -You were in the Wind of Summer-

Un des très bons morceaux "Dear You" de Higurashi (même s'il diffère légèrement par son titre). A vrai dire, je n'ai aucune idée de la place qu'il occupe dans le Visual Novel ;(

11ème : Insert music de Final Fantasy IX, de Nobuo Uematsu : Kuja's Theme

Sans doute le titre qui m'a le plus marqué dans l'OST de FFIX. Le titre était excellent, dommage que je me sois arrêté au disque 3 D:

12ème : Insert music de Eureka Seven, de Sata Naoki : type theEnd

Le morceau le plus terrifiant de cette OST, que vous pourrez trouver en action en suivant ce lien ! (spoil quand même)

13ème, fin : Opening de Gundam 00, de l'Arc-en-Ciel : Daybreak's Bell

Déjà le dernier morceau, quelle émotion mes amis ! On finit en beauté avec l'opening de Gundam 00, que j'avais commencé à une époque où je n'avais aucune culture otaque (et oui, ça semble si proche) et que je ne vais pas commencer maintenant qu'il a été licencié ! Bref, avec un petit chouia au début de la version complète.

Bref voilà, nous y sommes, l'heure des résultats a sonné ! Nous voilà donc avec une participation RECORD de 1 participant §§§§§§§§§

Bravo donc à Ike, parfois connu sous le nom de Dango grillé, pour sa victoire avec donc 17 points sur 39. Il gagne rien du tout, ce dont il peut être fier ! Je suis jaloux.

Trêve de plaisanteries, je suis DESU par la participation, j'en organiserais bientôt un dans quelques temps, mais la prochaine fois...

ON COMPTE SUR VOUS (OK OK OK ELLE ETAIT FACILE CELLE LA.)

lundi 7 septembre 2009

Gunslinger Girl

Bonjour, aujourd'hui je vais vous présenter un manga, Gunslinger Girl, écrit et dessiné par Yu Aida.


Le gouvernement Italien a décidé de combattre le mal par le mal. Pour cela il a monté une agence, la Social Welfare Agency, qui s'occupe d'assurer la logistique pour une équipe de professionnels chargés d'éliminer des chefs de clan ou d'assurer la protection de témoins, sous couverture d'une agence sociale. Tout cela est d'autant plus extrême que tous les tueurs de l'agence sont des petites filles d'une douzaine d'années (pour la plus vieille) conditionnées physiquement et psychologiquement après des accident traumatisants. Leur survie repose sur la savoir médical top secret: elles ont un corps artificiel, un nouveau corps qui leur procure la force et la vitesse d'exécution pour pouvoir tuer tous ces criminels. Placées sous la tutelle rapprochée d'un adulte membre de l'agence, chacune de ces enfants est devenue une véritable machine à tuer d'un efficacité redoutable.




On peut voir 5 petites cyborgs différentes au début de l'histoire ==>



Henrietta ==> Son tuteur est Jose Croce, elle est la meilleure tueuse de l'organisation; c'est le personnage principal, elle a été récupérée par l'agence après avoir été violée toute la nuit au milieu des corps sans vie de sa famille. Avant que l'agence ne la récupère, elle n'aspirait plus qu'à se suicider.

Rico ==> Son tuteur est Jean Croce, elle a été sauvée dans un hôpital où elle souffrait d'une paralysie des jambes.

Triela ==> Son tuteur est Victor Hilscher; elle joue un rôle comparable à celui d'une grande sœur. Elle a été sauvée par l'agence alors qu'elle faisait partie d'un groupe d'enfants vendus.

Claes ==> C'est la compagne de chambre de Triela, elle sert pour les expériences depuis la mort de son responsable Labaro.

Angelica ==> Son tuteur est Marco. Elle a été recueillie par l'agence après que ses parents l'aient volontairement renversée, l'usine de son père était au bord de la faillite et une belle prime d'assurance était promise à la mort d'Angelica. C'est la toute première cyborg.

Le manga fait 10 tome et il n'est toujours pas fini.
Le manga a aussi été adapté en anime, le première saison qui est sortie en 2003 se base sur les deux premiers tomes et fait 13 épisodes. Une deuxième saison nommé Gunslinger Girl Il Teatrino est sortie en 2008 elle compte 13 épisodes elle aussi. Les deux saisons ont été licenciés en France par Kaze, vous pouvez les achetés sur le site de l'éditeur


L'opening de la saison 1.


L'avis de Lana Skye ==>
J'ai beaucoup aimé ce manga, non pas parce que les petites filles sont vraiment kawaii, ou encore parce que elles ont des super flingues ou je ne sais trop quel autre futilité pour lesquels on pourrait lire ce manga. Il est un peu déroutant au début je l'avoue, voir des petites filles de 8/9 se battre avec des super mitraillettes de fou dont je n'ose même pas imaginer le poids et la puissance avec un tel sang froid et une telle assurance peut vraiment vous mettre mal à l'aise.
Les scènes d'actions se comptent sur les doigts de la main, mais à chaque fois on est vraiment content d'en trouver une car ça nous réveille bien quand ça se met à tirer de partout. On peu considérer comme un point négatif que la psychologie des personnages (bien que parfois un peu limitée) et leur relation avec leur tuteur (qui peut faire lolicon au bout d'un moment >x<) soit mise en avant par rapport à l'action ce qui peut parfois être lourd dans certains cas que je vous laisserai découvrir par vous même. Les dessins sont sympa, pour les décors, les bâtiments en pierres, les places italiennes, etc je les ai trouvés sympas. Pour les personnages, ils sont bien réalisés, bien proportionnés et il y a quelques détails appréciables.


Pour l'anime je ne l'ai pas encore visionné de peur d'être déçue mais curieuse que je suis je suis tout de même aller voir les critiques et apparemment c'est aussi bon que le manga.


Merci à tous d'avoir lu cet article et j'espère que ça vous aura donné envie de lire et de regarder ce manga. Merci à killua po (Eric) qui m'a permis d'écrire cet article pour le Mogomaniac. Je me suis vraiment bien amusée.


A très bientôt.


Lana Skye.

samedi 5 septembre 2009

Macross Ace Frontier, chant divin vidéoludique

L’activité est un peu vide sur le blog ces temps-ci, et pour cause, je rentre en Seconde (lelycéeouémdrjsuitro1pgm) donc voilà, plus de travail = moins de jeux = moins d’animes = moins d’articles. Mais ça m’aura au moins permis de jouer à Macross Ace Frontier, une petite adaptation de la série Macross sur PSP de très grande qualité.


Image de xpringox (Danbooru)

Je pense que vous connaissez tous Macross, cette série regroupant ce qu’on appelle parfois les ”plus grandes comédies musicales de la japanimation” sous fond de méchas et de faux conflits politiques. Etant donné le succés que rencontre la série au Japon (et qui pour des raisons de conflits de licence, n’aura jamais droit à la même chose en France), Namco Bandai a cru bon de lancer une adaptation en jeu vidéo. Et il a eu raison.


Dès le lancement d'une partie, le jeu vous propose de participer au scénario de l'un des 4 Macross présents dans le jeu : Super Dimension Fortress Macross, Macross Plus, Macross Seven et Macross Frontier, le tout dernier (et le seul que j'ai vu, même si je prévois de voir les autres). Si vous faites une erreur en choisissant Macross Plus alors que vous vouliez jouer d'abord au premier Macross, pas d'inquiétude : une fois le scénario terminé, vous pourrez choisir un autre scénario et ceci dans une seule et unique partie.
Une fois ceci fait, vous pouvez vous lancer "véritablement" dans le jeu. Vous avez accès à un hangar, qui vous permet de modifier votre mecha pour le rendre plus fort, plus beau et plus sexy, un tutorial qui ne sert qu'à faire joli ET. Les missions, puisque c'est le cœur du jeu. Tout d'abord, je précise : Toutes les missions se déroulent en mecha. Voilà, c'est dit. Même si vous pourrez changer votre mecha au cours du jeu. D'accord.


-Maman, c'est une image ça ?
-Oui mon petit.
-C'est trop moche ! C'est de la PSP ou quoi ?
-Oui mon petit.
-Ah ben alors c'est trop cool pour de la PSP alors !
-Oui mon petit.

Une fois monté sur votre mecha et parti pour de nouvelles aventures, il vous sera imposé divers objectifs selon la mission : Shooter tous les ennemis (95% du temps), défendre des objets, survivre ou atteindre une zone particulière. Le tout sur votre fidèle mecha, qui peut instantanément changer entre les 3 formes des Valkyries de la série : Aérienne (très maniable pour se déplacer, beaucoup moins pour le tir), terrestre (Très puissante mais peu maniable) et bipède (un très bon compromis entre les deux); vous aurez aussi le droit à 2 armes (1 minigun et 1 missile-launcher) et à une touche pour attaquer au corps à corps. Et je pense très sincèrement que ce sont les mechas qui forment la vraie force de cette adaptation : n'avez-vous jamais été déçu, en jouant à un jeu adapté de [insert whatever here], de découvrir que vous ne pouviez pas faire la même superattaquedelamort que le personnage principal ? Avouez que si. ET BIEN DANS MAF, NON !!! Vous avez toujours rêvé d'envoyer 26 missiles A simultanément, comme dans Macross 7 ? Même si vous ça ne sert à rien, vous trouvez la technique de frein en passant les propulseurs en avant de Macross F classe ? Et bien dans Macross Ace Frontier, vous pouvez faire la même chose. Oui oui, toutes les techniques de combat des héros sont ré-interprètables dans le jeu; le tout avec des effets de caméras splendides (même si elle fait PARFOIS UN PEU CHIER.) qui vous immergeront vraiment dans l'action. Donc voilà, le gameplay est une force incroyable de MAF, et si je devais le noter un jour, je lui donnerais 20/20 sans hésiter une seconde. GG Namco, je vous aime.
Au niveau des graphismes, c'est pas forcément très beau, mais pour de la PSP, le tout avec des lags très rares, c'est très respectable, sans être un point fort, il y a eu un réel travail de ce côté là. (à noter que mon .prx PSP pour les screens bugge, et donc j'ai pas pu prendre mes propres screenshots. Vous vous contenterez donc des screenshots très moches trouvés ici-là, dommage)


Après chaque mission, vous revenez au hangar afin de notamment faire évoluer votre mecha (chose rapidement indispensable) dans de diverses caractéristiques et choisir la mission suivante (oué). A noter que des missions supplémentaires se débloquent dans les scénarios différents une fois que l'on a terminé une mission d'un autre scénario : Par exemple, vous gagnerez des missions pour le scénario de Macross F en jouant à celui de Macross Seven.
Un autre point, parce qu'on joue à un jeu Macross : la bande sonore. Et, autant le dire tout de suite, je suis déçu. Il n'y a que peu de versions doublées des chansons : Par exemple, Macross Frontier ne propose les versions doublées que de Lion et de Sagittarius Don't Be Late, et Macross Plus uniquement celle de Information High. Le jeu propose au final seulement 9 chansons doublées, 2 de Macross, 2 de Macross F, 1 de Macross Plus et 4 de Macross 7 (dont une déclinée en 2 versions). Le reste sont des versions instrumentales.
Au niveau de la durée de vie, puisque ça en intéresse certains à une heure où certains jeux de guerre ne nécessitent que 6 heures pour être terminés, je précise que dans ma partie principale j'ai d'ors et déjà terminé le scénario de Macross Frontier sans les missions débloquables (soit 20% du jeu selon le menu), et ceci en 5 heures de jeu. Ainsi, on peut évaluer la durée de jeu totale à 25 heures de jeu sans compter le multijoueur qui est, d'après les dires de certains, de très bonne facture.

Voilà donc tout pour cet article sur Macross Ace Frontier. Pour rappel, le jeu est sorti le 9 octobre 2008 au Japon, n'est pas prévu en Occident et est développé par Namco Bandai. Une suite, Macross Ultimate Frontier, est prévue pour automne au Japon; et je précise d'ors et déjà que vous pouvez compter sur moi pour l'acheter et vous en faire un zoli article !11111
Je pense que je ferais sans doute un test vidéo de ce jeu quand je l'aurais terminé à 100%, mais j'ai vraiment, vraiment bien accroché à ce jeu. Macross Ace Frontier c'est bon, mangez-en.


Ranka Lee n'est pas présente dans le jeu, mais des screens prouvent sa présence (ainsi que celle de Seikan Hikou!!!!!111!1!) pour Macross Ultimate Frontier. Ça prévoit du bon !
(et l'image vient de Pixiv)

dimanche 30 août 2009

Teh Blind Test

En manque d'inspiration pour des articles, il m'est venu à la tête une idée géniale : Un Blind Test ! Alors hop, 1-2 heures sur Audacity et c'est fait \o/

Ce Blind Test regroupe donc 13 chansons provenant d'animes et de jeux vidéos. Ca peut venir de n'importe où, Bob L'éponge, Half Life ou Magical Girl Do-re-mi; n'hésitez pas à chercher un peu partout !

Pour l'écouter, c'est donc ici :


Vous pouvez le télécharger ici : Download

Les règles :

-Le but est donc de chercher les titres, artistes, et origine (JV/Anime of course D:) des 13 chansons présentes dans ce fichier MP3.
-Une fois que vous pensez avoir trouvé, il suffit de m'envoyer un mail à killuapo@gmail.com avec les 3 données correspondant à chaque chanson.
-Chaque donnée équivaut à 1 point. Ainsi, vous pourrez avoir 39 points; c'est sur ces données que nous établiront le classement.
-Vous avez 10 jours pour tout trouver. Passé ce délai... gtfo.
-Chaque extrait dure approximativement 20 secondes. Sauf le dernier. Mais aussi, c'est la fin, donc il faut une bonne fin. Aucun lapsus. :freud:

Voilà voilà tout. Bonne chance à tous nos participants \o/

EDIT : Correction, c'est 13 chansons, pas 12. :fail:

vendredi 21 août 2009

Eureka Seven : Teh Movie

Annonce de Persona 3 Portable : Ouais trop cool un personnage féminin en plus, mais je suis mitigé. Je vais devoir payer le jeu une 3e fois ?

Vous avez sans doute déjà du lire mes impressions enthousiastes sur Eureka Seven, qui est le précédent article avec lequel vous avez vécu une famine d’articles de 15 jours. J’avais ENORMEMENT apprécié cette série, qui est sans doute ma préférée avec Gurren Lagann (si celle-ci n’est pas surpassée !) du coup, en apprenant que un film Eureka Seven était sorti depuis avril et était déjà dispo sur le net dessus, je me suis jeté dessus comme un loup affamé. Car oui, après le maraton de 42 heures, j’étais un peu en manque d’Eureka Seven !


Le film n’est pas une suite, ni un résumé comme Evangelion ou Gurren Lagann. Psalms of Planets Eureka Seven : Good Night, Sleep Tight, Young Lovers (ou de son nom original Eureka Seven : Pocket Full of Rainbows) se déroule dans un univers parallèle, où Eureka et Renton se connaissent depuis l’enfance. Depuis 40 ans, l’Image, une entité terrestre (que les fans auront vite fait de comparer au Scab Coral) lance des attaques incessantes contre l’humanité pour l’anéantir et s’emparer de son territoire. Les parents de Renton sont scientifiques, et Eureka est une patiente de leur centre assez spéciale : la lumière du soleil lui inflige de la douleur. Un jour, l’armée envahit le centre scientifique et kidnappe Eureka pour la subir à des expériences. Huit ans plus tard, Renton rejoint le Gekko-Go, un vaisseau de l’armée des Rebelles, pour sauver le ”sujet hautement confidentiel” soit Eureka.

La trame du scénario n’est pas le seul élément qui change comparé à la série. Le film réserve quelques surprises, autant pour les personnages que pour la trame qui est un point fort du film. Par exemple, Dewey, même s’il reste un élément important du scénario, n’est plus le frère de Holland (le lien familial n’étant plus nécessaire). Une autre chose qui a changé : le Nirvash est présent depuis l’enfance des personnages (depuis qu’ils ont selon la ligne temporelle du film 2 ans, au moins) personnifié sous une espèce de mélange d’oiseau, de poulet et de visage humain (ça vous paraît bizarre quand on le dit, je sais) même s’il évoluera ensuite bien sûr en le Nirvash typeZero que nous connaissons. À mon avis, personnifier le Nirvash en lui donnant un côté plus humain avec des espèces de couinements (Mokyuu !) était une mauvaise idée. Rappelons-nous : dans la série Eureka Seven originelle, une des particularités de Renton, et surtout d’Eureka, était de pouvoir lire dans le cœur de Nirvash, et de lui ”parler”. Le mecha, quand à lui, ne pouvait que répondre en agissant, comme avec la désobéissance qu’il applique à certains épisodes. Certes, à la fin de la série, le Nirvash parlait, mais c’était dans un cas assez exceptionnel, on ne sait même pas comment ils l’ont entendu. Dans le film, cela casse tout le caractère mystérieux de Nirvash, un des points qui étaient une force de la série. Un autre point faible du scénario, la narration : les scènes d’action sont cassées par une narratrice censée expliquer le pourquoi du comment de l’action, et c’est assez relou, surtout quand on est en plein milieu d’une scène critique.

Vous voyez le bidule dans les bras de Renton ? C'est le Nirvash. Dur à croire, je sais.

Pour revenir à la trame, elle réserve quelques bonnes surprises par rapport à l’identité des membres du Gekko-Go, et révèle même l’origine du nom de la licence. Globalement, une bonne partie des personnages présents dans le film n’ont plus grand-chose à voir avec ceux d’ont ils s’inspirent, si ce n’est le nom et la forme. Leur mentalité change radicalement, et certains personnages possèdent des idéaux très différents des originaux; les fans seront également ravis de voir que certains éléments mystérieux de la série sont repris pour le bon compte du film (comme le mystérieux livre que lisait Talho). Malgré cela, le film ne demande pas de connaissance particulière de la série pour être compris. Les fans comprendront certaines choses à caractère globalement anecdotique, mais votre petit frère de 7 ans qui n’a pas regardé les 50 épisodes (soit 1200 minutes, je rappelle) de la série originale ne sera globalement pas désavantagé dans la compréhension du scénario global par rapport à vous.

En repensant un peu au film un peu après l’avoir vu, il est tout à fait imaginable une théorie (que j’ai également retrouvé sur quelques forums, en surfant vaguement) comme quoi le film se déroulerait pendant le ”premier” 21ième siècle, avant que l’humanité déménage vers une autre planète (dans le premier E7). La majorité des détails concordent parfaitement (la seule chose qui ne va pas c’est les mechas, puisque le contrôle des mechas et la découverte du Trappa remonte à l’époque où Axel Thurston était à Varsovie), et insérer les personnages pendant cette partie temporelle remplirait un moyen de raconter l’histoire sans avoir à insérer des personnages et à avoir à les développer. De plus, on peut parfaitement considérer le Neverland du film comme l’endroit où atterissent les personnages à la fin de la série en entrant dans le Coralien (là où se retrouvent Dominic et Anemone), entre l’ancienne Terre et la nouvelle. Mais cela ne reste qu’une théorie, et cela n’a pas été le moins du monde confirmé ou approuvé par le scénariste.

En ce qui concerne l’animation, le film utilise à la fois des images de la série originelle (parfois modifiées pour certains détails), des images recyclées avec des changements (généralement au niveau de la coloration surtout) et des nouvelles images faites main. Les images reprises seront aiséments reconnues, tandis que l’on découvrira avec plaisir les images originales, généralement de meilleure qualité et mieux adaptées pour le cinéma. Les nouveaux dessins sont également mieux adaptés au grand écran; ils sont plus grand, fourmillent de détails quand ils le peuvent et s’accompagnent d’une musique qui se veut plus dramatique, sans pour autant oublier ce côté un peu moderne qui faisait sa force dans la série originale. On a de nouveaux des scènes d’action dynamiques et entraînantes comme dans Eureka Seven, mais elles s’avèrent malheureusement trop rares.


En conclusion, le film d’Eureka Seven s’adresse avant tout aux fans d’Eureka7, par ses personnages, son univers et ses petites anecdotes. Le reste, lui, s’ennuiera sans doute, encore plus s’il n’a pas aimé la série ou s’il prête plus d’attention aux scènes d’actions qu’aux discussions. Un bon film pour les fans, certes, mais qui aurait peut-être mérité à être développé en une série d’une douzaine d’épisodes.

vendredi 31 juillet 2009

Eureka Seven - Surfons sur la vague

Autant vous le dire tout de suite : ce sont des impressions à très chaud, j'ai fait un marathon de 42 heures pour finir la série dans les bons délais (je disparais de la surface du monde pour 3 semaines demain matin). Je m'étais dit au début que je verrais la moitié de la série maintenant, et le reste quand je rentrerais (et que je changerais mon modem 56k par la fibre optique 30mbps surtout). Mais j'ai tellement surkiffé Eureka Seven, que j'ai tout regardé d'un coup, malgré toutes les choses que j'ai à faire (préparer mes affaires de survie, regarder un épisode de Mushishi depuis le temps que je promets à Tsuchi de le regarder, ne t'inquiète pas j'ai pas oublié !) et j'ai sacrifié une pauvre nuit dans le but de regarder la série.
Et bien, résultat : si Gurren Lagann n'avait pas existé, cette série aurait sans doute été en haut de mon Top 5 !

Je ne m'éterniserais pas sur le scénario : Renton, 14 ans, fils du grand héros Adrock Thurston, lassé de sa vie monotone, s'engage dans le Gekko State, un vaisseau clandestin qui pratique du "ref", un sport qui consiste à surfer sur des vagues de Trapar, une matière présente dans l'air de certaines parties du monde. Il y rencontre/retrouve Eureka, une jeune fille (dont il tombe instantanément amoureux) qui a "accidentellement" écrasé sa chambre quelques heures avant avec le robot légendaire, le Nirvash typeZero.

Le scénario de base, basique, s'enchaîne ensuite avec l'apparition des Coraliens, qui sont des êtres ma foi assez difficiles à décrire tant ils sont étranges, que les militaires veulent à tout prix détruire, pour une raison que les hauts leaders du Gekko State, dont le célèbre Hollander, semblent vouloir lui cacher. Divers personnages apparaissent au fil de l'anime, comme la mystérieuse Anemone. C'est d'ailleurs un point fort d'Eureka Seven, comme je l'avais déjà souligné avec Xam'd Lost Memories : les personnages, qui sont utilisés de façon magistrale par le scénariste. J'avais par exemple peur une fois arrivé au milieu de la série que Anemone soit sous-utilisée, mais elle gagne tellement d'importance à la fin de la série que j'avais presque oublié avoir pensé ça. Même si ça ne m'empêche pas de haïr certains personnages (comme les gamins, même après que leur comportement se soit "amélioré" je les hais toujours, je hais les gamins, surtout Maurice, le petit con qui se croit avantagé par rapport par rapport à Renton, je te hais)



Mais cette série aura avant tout réussi à déchainer la PASSION en moi, parce que Eureka Seven m'a fait prier, Eureka Seven m'a fait pleurer (putain la SCENE OU EUREKA APPREND QUE RENTON EST PARTI DU VAISSEAU, C'EST TROP TOUCHANT, NE FAITES PLUS JAMAIS ÇA BORDEL), Eureka Seven m'a (presque) fait crier (j'aurais bien hurlé "OMG QUEL FILS DE PUTE" ou "WRYYYYYYYYY VAZY BUTE-LES TOUS" mais il était 5 heures du mat), Eureka Seven a fait bouillir mon sang comme seul Gurren Lagann avait pu le faire ("VASCUD CRISIS, JE VAIS DISSOUDRE TA CERVELLE !!11!"), le tout accompagné par une PUTAIN D'OST (à la fois les openings, les endings que les insert musics) et plein d'autres choses qui font que Eureka Seven poutre, et m'a scotché à mon écran pendant ces 50 épisodes.


Au final, Eureka Seven est un anime qui tue, que vous vous DEVEZ de regarder, que ce soit tout seul dans votre grotte ou en famille (même si ils vont bien rire à l'épisode où Eureka se ma... ma... ma... NON DES SOUVENIRS TROP DOULOUREUX REFONT SURFACE, JE NE PEUX CONTINUER), que vous vous les enchaîniez tous d'un coup ou au même rythme de publication original (un épisode par semaine en un an avec tout le suspens qui va avec, bonne chance !), de quelque manière que ce soit, regardez cette tuerie interstellaire, s'il vous plaît. Je savais que j'allais me faire chier pendant ces vacances, mais maintenant que j'ai vu Eureka Seven, même si je vais passer 3 semaines dans un trou perdu dans l'infini, je suis satisfait, j'ai vu un putain d'anime incroyable avant de partir, je peux maintenant survivre à toutes les attaques cardiaques.

Apparement un film est sorti en avril et a été diffusé il y a quelques semaines au festival de jenesaispasquoi à Bohn (saleté de BOSCHES QUI ONT AUSSI EU EVANGELION 2.0 JE VAIS LES TUER!!11111!!) et même s'il serait apparement naze je vais quand même le regarder, je le télécharge là en ce moment et j'écrirais quelque chose dessus à mon retour.

Maintenant, écrivez toute la merde que vous voulez sur moi pendant ces 3 semaines, sur les blogs ou les forums que je visite, car je viendrais vous frapper fort à mon retour. Et interdiction d'insulter Eureka, de toute façon tout le monde aime Eureka.

mardi 28 juillet 2009

Hunter X Hunter

Puisque cette période est assez vide pour tous les lecteurs du Mogomaniac (j’en viens même à recycler mes vieux articles !) je me décide à faire un article sur un manga que j’aime beaucoup, que je suis avec plaisir depuis 1 ou 2 ans : Hunter X Hunter, de Yoshihiro Togashi.

Gon est un jeune adolescent dont le rêve est de devenir un Hunter; ces derniers sont aventurieurs d’élite, pratiquant des activités aussi variées que la chasse (à l’animal, ou à l’homme), la cuisine, l’archéologie ou même zoologues. Être un hunter constitue généralement un titre plus qu’honorable, certains n’hésitant pas à revendre leur licence de Hunter contre des monts et merveilles. En effet, pour devenir un hunter, il faut passer un examen de la plus haute difficulté mettant les candidats dans des situations extrêmes; on dit qu’un seul candidat tous les trois ans devient un hunter à sa première tentative.

On peut dénombrer 2 personnages principaux :

De droite à gauche :

-Gon, personnage principal, jeune et naïf, un peu le stéréotype de héros de shonen. Il est devenu hunter pour retrouver son père, Jin Freecs, le plus grand hunter de tous les temps. Il est armé d’une… canne à pêche (comme quoi dans les mangas, tout est dangereux)

-Killua, ou Kirua dans la version française, est le fils de la famille des célèbres tueurs à gages Zoldik. Un jour, il en a eu marre de cette vie et s’est en allé faire l’examen pour devenir Hunter, pour s’ ”amuser”. Il possède des réflexes surhumains, datant de l’époque il était un tueur.

La plupart des autres personnages sont spécifiques à certains arcs (Biscuit) ou perdent de l’importance au fil des tomes (Leolio, Kurapika).

La série se divise en 5 arcs :

-L’obtention du diplôme de Hunter, qui se déroule plus rapidement que prévu (je m’attendais à ce que le manga tourne autour de ça, j’ai été bien dupé)

-La découverte du nen. Après l’obtention du diplôme, Gon commence à s’entraîner physiquement pour aller chercher son père. Lui et Killua découvrent ensuite le nen, une force intérieure qui se révèlera rapidement indispensable pour la suite des évènements.

Le nen se divise en 4 parties :

-Le Ren, qui consiste à concentrer une aura exceptionnelle; cela se divise en plusieurs catégories : le Ken, le Ko et le Gyo (qui consiste à concentrer toute son aura en une certaine partie du corps, comme le poing, rendant vulnérable le reste du corps)

-Le Ten, qui permet de contrôler l’aura qui contrôle le corps.

-Le Hatsu, qui est sans doute la partie la plus importante. Chaque utilisateur du nen possède un Hatsu différent :

  • La matérialisation, qui permet de matérialiser l’aura.
  • Le renforcement qui permet de donner plus de force physique ou d’augmenter l’efficacité d’un objet.
  • L’émission, permettant de ”projeter” l’aura.
  • La transformation, qui permet de changer les propriétés de l’aura.
  • La spécification, qui donne une aura particulière aux attributs singuliers.
  • Et enfin la manipulation, qui permet de contrôler de la matière (inerte comme vivante).

-Et enfin le Zetsu, qui permet de séparer l’aura du corps.

C’est le nen qui va ensuite changer singulièrement les combats qui viennent ensuite dans le manga. En effet, alors qu’avant il y avait assez peu de combats, et qui étaient assez sommaires, il s’agira ensuite tout simplement d’un ”qui utilisera le mieux son nen” donnant place à énormément de refléxion dans les combats, bien plus que dans n’importe quel autre manga. Chaque combattant doit s’adapter au nen, et surtout au Hatsu, de son adversaire, donnant une notion stratégique à chaque combat.


Le troisième arc est celui de York Shin City. Gon et Killua, venus pour acheter un exemplaire du jeu ”Greed Island” très rare et très cher, vont également y retrouver Leolio et Kurapika, dont ce dernier est à la recherche de la brigade fantôme, qui avait décimé tout son clan.

Le quatrième arc se déroule à Greed Island, le jeu développé par le père de Gon. Gon et Killua se retrouvent immergés dans le jeu et devront en trouver la sortie pour avoir des indices sur le père de Gon. À partir de là, la série devient moins relâchée, et on sent réellement la différence entre les combats des arcs précédents et ceux depuis que les personnages savent utiliser le nen.

Enfin, le cinquième arc est celui en cours, celui des Kimera Ants. Gon et Killua vont partir à la recherche du roi des Kimera Ants, qui se prépare à manger des millions de personnes afin de nourrir sa faim de nen. Malheureusement, le rythme de celui-ci est irrégulier, comme à l’époque de Yuyu Hakusho (un autre manga de Yoshihiro Togashi) l’auteur étant très malade, on ne voit la couleur d’un chapitre que un Shonen Jump sur 4 (au hasard).

Le manga s’est vu adapté en un anime de 62 épisodes, qui s’arrête juste avant l’arc de Greed Island (ce dernier s’étant vu adapté en une série d’OAVs). Il est licencié en France par Dybex, tout comme le manga français (qui a rattrapé la publication japonaise) est arrivé ici grâce à Kana (qui nous livre ici une traduction de qualité).

Au niveau des adaptation en jeux vidéos, au delà des nombreuses adaptations par Konami, les personnages ont notamment fait apparition dans Jump Super Stars et Jump Ultimate Stars, sur DS.

En bref, Hunter X Hunter est un manga de qualité, surtout grâce à ses combats dynamiques et qui prennent une autre dimension grâce à l’utilisation du nen, que je ne peux que vous conseiller de lire si vous aimez les shonen (et que vous êtes patient, surtout !)

lundi 27 juillet 2009

Yoshi Tama - Y'a pas que Tony Taka et Shunya Yamashita dans la vie

4chan, c'est peut-être /b/, soit le plus gros bordel du net, mais c'est aussi d'autres imageboards comme /a/ ou /m/, sur lequel j'ai découvert un auteur assez peu connu, et pour cause : il n'a pas fait beaucoup de travaux, mais ceux qui se révèlent assez originaux, une chose que j'ai vu peu de dessinateurs faire : la mechanization, comme on dit dans la langue de Shakespeare.

Yoshi Tama, tel est son nom, s'amuse à dessiner des personnages de Touhou tels qu'ils le seraient s'ils étaient des mechas. On peut donc reconnaître plus bas respectivement Ibuki Suika, Shameimaru Ayu et Konpaku Youmu. Au fait, aviez-vous reconnu plus haut Yasaka Kanako ?



Mais Yoshi Tama ne dessine pas que des mechas. En cherchant dans ses images, il m'est arrivé de tomber sur des images sur lequelles j'étais déjà tombé en surfant sur des forums dont les possesseurs ignoraient complètement l'origine. Il dessine majoritairement sur Touhou et Yuki Nagato (oô) même si on trouve autre chose de lui (parfois NSFW). Même si son style pour les mechas est sans conteste, le reste est plus... douteux.

D'accord, c'est peut-être potable, mais c'est loin d'être le mieux que j'aie vu parmi les doujins Touhou. Très loin...

Il a aussi fait quelques autres dessins de mechas assez sympathiques... Chose à laquelle il est bien meilleur que le dessin traditionnel.
Si vous voulez d'autres informations sur l'auteur, sachez que c'est tout ce que j'ai. Après avoir remué le net dans tous les sens, sans rien trouver d'intéressant, malheureusement. Aucun artbook, collectif de dessins... On est loin d'autres dessinateurs qui font parler d'eux tous les jours ! Malgré cela, une bonne partie de ses dessins sont trouvables sur Gelbooru (retirez le rating:safe dans la barre de recherche pour inclure tout ce qui est NSFW). J'ai quelques autres de ses croquis trouvés ici-là sur 4chan ou autres sites du genre, mais si quelqu'un connaît une source où on pourrait trouver plus de dessins, et bien, j'accepterais ça dans les commentaires avec plaisir ;D

Voilà à quoi aurait pu ressembler Touhou 6 si ZUN avait les mêmes inspirations que notre dessinateur...

vendredi 24 juillet 2009

HARDWARE DE ROUMAIN RAGE

Ce matin, je voulais jouer à Command & Conquer, Alerte Rouge 3 sur ma 360.

Je lance le jeu, et voilà ce que je vois :


J'éteins la 360, la relance, et là :


FFFFFFFFFFUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU-

Quelques heures après, j'ai laissé la 360 refroidir, tout va bien, je fais un test pour voir si ca va mieux, et là...


OK. J'ai compris. Merci crosoft.
Merci également de me donner une bonne raison de l'envoyer au SAV parce que "Disque illisible" ne serait soit-disant pas une raison valable.

Mais je suis deg. :x

mercredi 22 juillet 2009

test : Taiko no Tatsujin DS !


Titre complet: Taiko no Tatsujin DS : Touch de Dodokon!
Dates de sorties:
- Japon: Août 2007
Genre: Jeu musical
Développeur: Namco
Editeur: Namco Bandai
Nombre de joueurs: 1 à 4
Nintendo WFC: Non
Code CERO: A (tous publics)
Disponible sur: Nintendo DS

Le roi des salles d’arcades japonaises arrive sur Nintendo DS dans une version spécifiquement étudiée pour la console. Voyons donc ce qu’il en est de ce jeu...

Êtes-vous déjà allé dans une salle d’arcade japonaise ? Si oui, vous avez obligatoirement dû remarquer une de ces grosses machines ressemblant à des tambours géants qui rendaient les autres jeux d’arcades obsolètes. Il s’agit de Taiko no Tatsujin, un jeu mettant en scène un batteur de tambour (VOUS) afin de terminer un morceau de musique. Si les versions Arcades et PS2 mettaient en scène des tambours, la DS n’en a pas la possibilité par son hardware (c'est une console portable, pas un orchestre de poche !)
Pour remplacer ce problème, Namco a bien sur utilisé les capacités tactiles de la console, en mettant en place un tambour sur l’écran tactile...


Le gameplay du jeu expliqué en image !

Cependant, Namco a tout gâché à cause d’une trop grande difficulté et de trop de restrictions dans le mode d’emploi, du fait qu’on passe rapidement aux boutons.

Mon dieu, je vous parle du gameplay d’un jeu sans vous en avoir expliqué le concept ! Le jeu se déroule un peu comme un Dance Dance Revolution : des têtes de Taiko arrive de la droite de l’écran et c’est à vous de les taper au bon moment et de toucher un différent endroit de l'écran tacticle selon la couleur. Même si c'est assez lent en facile, le tout s'enchaîne bien plus rapidement dès qu'on atteint des niveaux de difficulté supérieurs : Normal, difficile puis le mode à débloquer, le mode Oni !

Concernant la playlist, je vous laisse déduire par vous même :


J-pop
さくらんぼ (Sakuranbo)
気分上々↑↑ (Kibun Joujou↑↑)
夏祭り (Natsu Matsuri)
決意の朝に (Ketsui no Asa ni, thème de Brave Story)
Won't Be Long
マタアイマショウ (Mataaimashou)
DANCE2 feat.ソイソース (DANCE2 feat.Soysauce)

Anime
Touch
Together (Pokemon: Diamond and Pearl series)
Jūken Sentai Gekiranger
Yes! PreCure 5 Smile GoGo!
Doraemon
Detective Conan Main Theme
Anpanman

Classical
Symphony No. 7 (Beethoven)
William Tell Overture (Rossini)
Orpheus in the Underworld (Offenbach) (aka the can-can song)
Flight of the Bumblebee (Rimsky-Korsakov)
Classic medley (Wedding compilation)
Fantaisie-Impromptu (Chopin) (Unlockable)

Video game music
Super Mario Bros. ( Super Mario Bros sur NES )
Go my way ( Idolm@ster sur Xbox 360 )
Arkanoid medley
Twinbee Yahho! opening theme

Namco original
キミにタッチ!
もじぴったんメドレー
KAGEKIYO
風雲!バチお先生
黒船来航 (unlockable)
太鼓乱舞 炎の卷 (unlockable)
太鼓乱舞 風の卷 (unlockable)
太鼓乱舞 水の卷 (unlockable)
てんぢく2000 (unlockable)

Variety
たらこ・たらこ・たらこ (Tarako Tarako Tarako)

Traditional
もりのくまさん (A Bear in the Forest)
いぬのおまわりさん (Dog Policeman)

Playlist donc assez variée. Malgré cela, le jeu reste assez répétitif, et on y joue rarement plus à raison de 10 minutes par jour.

Le jeu est également assez personnalisable; on peut personnaliser son Taiko (ce qui ne sert finalement qu'à frimer en multijoueur) On peut changer les sons que l’on fait lorsqu’on bat. Ainsi on peut changer les battements de tambour par des sons de batteries, du chant...

Il y a également un mode DOJO, où vous pourrez jouer 1 fois chaque jour pour augmenter votre grade (à quoi il sert, ça j’en sais rien) et débloquer des nouvelles chansons et de nouveaux objets à personnaliser.

Le mode multijoueur permet de s’affronter avec une unique carte jusqu’à 4 sans restriction : même en mode téléchargement DS, toutes les musiques, difficultés, etc. sont disponibles. MERCI Namco, ca n'arrive pas souvent !



- Les PLUS:
Musique variée
Personnalisation
Long
Difficulté bien dosée (même si le mode facile l'est un peu trop)
Très bon mode multijoueur

- Les MOINS:
Pas de grande originalité (à part les stylets, qui sont mal exploités) par rapport aux opus sur autres consoles
On passe rapidement aux boutons

- Graphismes: 14/20
Les graphismes typés mangas sont le strict nécessaire pour ce jeu. Pas besoin de plus, et on va pas se plaindre de ne pas avoir moins.

- Jouabilité: 13/20
Un des points faibles du jeu; Namco a voulu jouer au stylet, mais ça a mal tourné et les boutons prennent vite le dessus, et sont même indispensables aux derniers niveaux. À part ça, RAS.

- Sons: 17/20
Il y en a pour tous les goûts, tant que vous ne haïssez pas la musique japonaise : de la Jpop, des classiques du jeu vidéo, de la musique classiques, des openings...

- Durée de vie: 15/20
Même si les sessions de jeux sont généralement courtes, on y revient avec plaisir. Les différents modes de jeux varient le plaisir, et le mode multijoueur est très bien réalisé pour des petites parties entre amis.

- NOTE FINALE: 15,5/20
Taiko no Tatsujin figure parmi les petites perles de la DS qu'on ne verra sans doute jamais en occident. Il n'est pas parfait, mais suffisament addictif pour vous tenir tête un petit bout de temps.

Egalement; si vous achetez ce jeu sur ebay, Amazon ou autre site d’enchère (même si Amazon n’en est pas un), vérifiez qu’il s’agit de la version mise à jour (avec la petite tête en bas à gauche); les versions non mises à jour souffrent d’un bug de sauvegarde très contraignant.

vendredi 17 juillet 2009

Xam'd : Lost Memories, avis final

19 juillet : J'ai édité l'article parce que dans l'état, il était quand même bien pourri.
Ca fait 2 jours que j'ai fini Xam'd Lost Memories, je vais donc pouvoir prononcer mon avis final sur cet anime qui m'a bien plus surpris que je ne le pensais.


Ouais je mets un screenshot avec du fansub, je ne suis qu'un vil PIRATIN

Alléché par la qualité des deux openings de la série, je me suis lancé, sur les conseils d'un ami fan de Bones, studio à l'origine de cet anime et de d'autres comme Eureka Seven (que je compte me procurer bientôt) ou Wolf's Rain.
Cette personne donc, m'avait également conseillé de ne pas me fier au début de l'anime, assez lent et très ressemblant à Eureka Seven (que je n'ai pas vu, comme déjà dit juste avant). Pourtant j'ai bien accroché; le scénario est bien ficelé, les personnages sont intéressants (j'y reviendrais plus tard) et le style graphique est plus qu'agréable et sait se montrer à la fois nerveux pendant les scènes d'action et reposante pendant le reste de l'anime. Ce dernier, de Kenichi Yoshida (qui a déjà officié sur... devinez quoi ! Eureka Seven !), se laisse voir de manière naturelle et met bien en avant les Xam'd, mot obscur dont vous connaîtrez la signification... dans la suite de l'article !



Donc il est temps de passer au synopsis de l'histoire pour ceux qui ne la connaîtraient pas : Akiyuki, jeune lycéen âgé de 16 ans, se rendait à son lycée quand son bus scolaire explose; alors qu'il cherche des survivants, il tombe sur une femme aux cheveux blancs qui lui implante dans son bras la vie d'une créature mystique, celle d'un Hiruko. Ainsi, cela lui permettra de se transformer en Xam'd, créature aux formes étranges mais à la force DEMESUREE. Mais l'Hiruko n'hésitera pas à le transformer en pierre s'il fait trop souvent appel à lui...

Alors oui, au premier abord, on dirait un scénario d'un mauvais film de série B. Mais au fil du temps, le scénario se diversifie et si on devait avoir une seule raison de suivre le scénario, ce serait les personnages. Bien distincts et variés, ils ont chacun une personnalité qui sont bien la leur; de plus, le studio arrive à en insérer des importants même à la fin de l'anime, ce qui est tout de même assez incroyable.




Quand à la fin, puisque c'est celle-ci que j'ai eu le plaisir de visionner, elle est étonnament triste par rapport au reste de l'anime, plusieurs personnages meurent (enfin pas vraiment), je suis assez triste pour celui qui est mort sur le toit de la chambre d'Accélération (pour pas spoiler on va mettre des paraphrases), je ne m'y attendais pas vraiment mais son sacrifice est vraiment honorable pour son personnage. Dans tous les cas, cette fin était vraiment d'une grande qualité, autant sur le plan visuel que scénaristique puisqu'on a pas droit à des courbettes d'acrobate de la part du scénariste, sans pour autant que ça sombre dans le classicisme.

D'ailleurs, c'est cette fin qui m'a permis de remarquer que la seconde partie de l'anime est bien meilleure que ce à quoi je m'attendais. Lorsqu'Akiyuki se décide à quitter l'équipage du Zanbani (le vaisseau postal où est recueilli le héros au début de l'anime) pour de bon. A partir de là, tous les personnages commencent à s'éparpiller aux quatres coins du monde pour se préparer à la fin, et enfin ils se retrouvent pour un final assez exceptionnel.

Au final, Xam'd, c'était une série plus qu'agréable, c'est un anime que je ne regretterais pas d'avoir vu, et qui se fait direct une place dans mon top 10 de mes séries de japanimation que je préfère.

A noter que ce n'est pas le seul anime que j'ai vu récemment; puisque j'ai pu voir également Evangelion 1.01, le film qui résume le premier quart de l'anime (soit du début jusqu'à l'arrivée du 6e ange qui veut trouver le centre de la NERV). C'est beau, c'est dynamique, mais je ne saurais en faire une review dans le sens où ça reste le quart d'une série que je n'ai pas vu, et que je ne supporterais pas de voir après avoir vu cette putain de remasterisation qui redonne des couleurs à cette série qui m'avait dégouté dès le premier épisode. C'est également bien mieux résumé que Death and Rebirth, condensé énorme de la série, qui était particulièrement inbuvable et dont je ne me suis souvenu de rien après l'avoir vu tellement c'était confus.
Maintenant, reste plus qu'à attendre la sortie de Evangelion 2.0 carjebelievequilsortiraaucinémamêmesilepremierafaitunbide.

dimanche 12 juillet 2009

Jeux de l'été

Incroyable mais vrai, c'est déjà l'été, la campagne est superbe, les plantes chantent comme les oiseaux mais nous ne vivons pas encore dans Half Life : Full Life Consequences.
C'est donc l'occasion pour moi de finir des jeux/animes que je n'ai pas eu le temps de finir pendant l'année, et de pouvoir me consacrer à des nouveaux jeux !

Rule #66 : There is Touhou of it, no exceptions.

On commence donc par Fallout 3, jeu au contexte post-apocalyptique créé par Bethesda Softworks, créateur d'Oblivion également. Je me suis fixé comme but de finir le jeu, ainsi que de terminer le maximum de quêtes annexes. Je dois en être à la moitié de l'histoire principale, le jeu est très accrocheur et on prend un grand plaisir à se balader dans les ruines de Washington D.C., même sans but précis, juste pour le plaisir de la découverte !

Il y a d'ailleurs un moyen de simple de se faire le jeu tout en douceur, que j'ai testé en offline histoire de pas bousiller au final ma sauvegarde :
1. Tuer Lucas Simms à Megaton
2. Récupérer la clé de son armurerie
3. Entrer dans l'armurerie et battre le robot avec l'arme du shérif
4. Tout voler à l'armurerie
5. Partir en faisant sauter Megaton (allez voir d'abord le type qui vous propose de la faire sauter en échange de plein de capsules et d'une maison à une autre petite ville)
6. ???
7. PROFIT !!

En plus de tout cela, on ressent vraiment la notion de monde vivant, chacune des actions influe sur le déroulement de ma partie, par exemple j'ai du me refaire 2 heures de jeu parce que j'avais volé l'armure d'un type de la confrérie de l'acier (les gros types en armures sur la jaquette du jeu) et j'ai sauvegardé juste devant l'entrée de Galaxy News Radio (une des deux radios des Terres désolées)
Enfin bref, je ne regrette pas du tout mes 11 euros dépensés chez G2Play, le magasin polonais (maintenant basé à Singapour) dont je vantais les mérites il y a quelques temps.

Petite paranthèse : Attention si vous comptez acheter là-bas, apparement ils vendent des clés volées (et ensuite bannies) de Blood Bowl, leur réputation vient de prendre un sacré coup. On a toujours pas recensé de ban avec les clés Steam/EA/Battle.net, mais restez prudent si vous comptez acheter chez eux. (je me ferais bien niquer vu que j'ai acheté une clé Orange Box et Half Life Platinum chez eux)

On enchaîne avec Anno 1404, que je comptais me prendre sur G2Play justement mais qu'un ami m'a prêté (et qui va se faire niquer par le système TAGES s'il tente de le réinstaller 2 fois de plus maintenant, haha), jeu de gestion de ville qui se déroule donc au... XVème siècle (bravo !) et où vous devrez coopérer avec vos amis de l'Orient pour satisfaire votre peuple, devenir la plus grande ville du monde et pouvoir ensuite acheter la paix à vos concurrents pour pouvoir vivre éternellement et vous marier et faire plein d'enfants.


J'ai donc commencé par une partie continue, la grande caractéristique commune à tous les jeux de la série, pour créer ma ville et... j'ai perdu au bout de 2 heures de lutte acharnée à la recherche d'or, j'ai fini par faire n'importe quoi et j'ai perdu. Donc je suis mis à la campagne (a.k.a. didacticiel géant) et depuis tout va bien. Au final, j'aime beaucoup le jeu, pas énormément, mais beaucoup, il me rappele Age of Mythology (mon premier STR ! sauf qu'il est sur Mac et donc je ne pourrais plus y jouer die VDM)

Je joue évidemment aussi Tales of Vesperia (enfin un peu moins en ce moment à cause de ma putain de 360 avec un hardware de roumain) dont vous trouverez un article ici ! (j'ai pas avancé t'façon)

Je me suis remis un peu à Day of Defeat: Source (dont j'avais fait un MDP ici) et même si j'étais un vieux bousin à l'époque du test, je me suis bien amélioré et je commence à maîtriser les subtilités de chacune des armes. Et d'un coup, ça devient BEAUCOUP PLUS FEUNE !
Et pour continuer sur le moteur Source, le mod Bisounours Party est sorti, et vous pouvez y jouer gratuitement tant que vous avez un jeu Source. Pour ma part j'ai un sale bug qui m'empêche d'y jouer, mais ça reste une bêta, ne crachez pas dessus. Et pour continuer sur les mods (haha) j'ai pu jouer à Fortress Forever, le Team Fortress Classic sous le moteur Source, et ben sapuduku, je suis bien content du changement entre Team Fortress et sa suite TF². Si vous préférez FF à TF2, alors remettez-vous en question ou tirez-vous une balle dans la tête (j'impose mon choix, soumettez-vous à moi)
Et puisque je suis repassé à XP (Aion ne marche pas dessus, d'ailleurs j'y joue pas), il va falloir que je retélécharge tous mes jeux Steam, y compris le gros Unreal Tournament 3 de 8 Go duquel j'ai eu la brillante idée de me remettre histoire de tester les mods The Haunted ou Killing Floor (adapté ensuite en jeu à part entière apparement assez sympathique).

Voilà donc tout ce à quoi je vais jouer cet été, le comble dans tout ça c'est qu'il n'y a aucun jeu sur portable alors que je pars (vous saurez quand lorsque il y aura un vide de 3 semaine sans article, je pourrais MEME PAS SOUHAITER LE PREMIER ANNIVERSAIRE DU BLOG, SHAME ON ME) <- c'était un indice.

En attendant, je vais essayer de créer ma propre map pour Dawn of War 2. Ah, les bons moments passés à mapper sur Age of Mythology alors que mon âge se comptait sur les doigts de deux mains. (bon OK elles étaient injouables et un peu désavantagées mais osef)

lundi 6 juillet 2009

REC : C'est dans la boîte

Bon j'ai pu finir REC et avant d'enchaîner sur la 2e partie de Xam'd et sur Mushishi, j'aimerais donner mon avis sur cet anime signé SHAFT (Sayonara Zetsubou Sensei, Maria+Holic)



REC donc, c'est un anime qui parle d'une seiyuu (doubleuse) nommé Aka Onda. Celle-ci souhaite "devenir Audrey Hepburn" (une actrice célèbre britannique du XXième siècle qui a connu son heure de gloire avec des films comme Sabrina ou Vacances Romaines). Elle rencontre Fumihoko Matsumaru, un salaryman déprimé et qui s'avère vivre dans l'immeuble voisin de chez elle. La nuit après leur rencontre, l'immeuble d'Aka brûle dans un incendie et Matsumaru lui propose de venir vivre chez lui.

Première chose, si vous espérez apprendre des choses sur le rôle de seiyuu (doubleurs), vous n'en apprendrez pas grand chose. Il vaut mieux dans ce cas-là se tourner vers le manga Koe no Oshigoto ou vers cet excellent article d'Axel Terizaki sur les seiyuu.


Car Aka est une seiyuu très, très chanceuse. Au milieu de l'anime, survient un incident, limite drôle, qui fait grimper la popularité de l'héroïne; l'anime ne se concentre donc pas sur le rôle de seiyuu, mais sur la vie quotidienne de Matsumaru et d'Aka, qui va, vous le comprenez aisément, vite se changer en vie de couple.

Le format de REC est assez différent de la majorité des animes : chaque épisode, de cette série qui en comporte 9 (plus un épisode bonus, si j'ai bien compris) ne dure pas plus qu'une douzaine de minutes, opening et ending compris. Cela rentre parfaitement dans le cadre de cet anime, qui se veut simple et léger.

Au final donc, REC est un petit anime qui ne se veut pas porteur de grands espoirs, mais si vous avez quelques minutes à tuer pendant une journée, un épisode convient parfaitement.